« AFROTOPIA est un prolongement de la réflexion de Dahij d’un point de vue sociétal. C’est juste une invite à la construction de soi. Et, dans ce processus les préalables et les prolégomènes, c’est la souveraineté intellectuelle, culturelle et la maturité », a expliqué l’écrivain Felwine SARR qui présentait son essai, mardi, à l’Université Gaston Berger.
L’auteur appelle le continent à « revenir son propre centre et épicentre ». Il invite à « partir de soi pour élaborer des sociétés qui font sens, qui sont épanouissantes, et articuler ces finalités ».
« Pour cela, il y a un certain nombre de déconstructions qu’il fallait opérer », a-t-il précisé devant une forte mobilisation de la communauté universitaire.
« Les sociétés ont leurs temps propres. C’est pour cela que je suis contre l’idée de rattrapage. Cette idée s’inscrit dans la temporalité de l’autre. Celui que vous rattraper est en mouvement, c’est s’inscrire dans le fait que la cible est externe », explique cet économiste, universitaire et musicien.
« Nos défis et problématiques, nous pouvons les prendre en charge. Nous ne sommes pas dans une course, c’est enfantin de faire comme … », souligne-t-il.
Écoutez !
L’auteur appelle le continent à « revenir son propre centre et épicentre ». Il invite à « partir de soi pour élaborer des sociétés qui font sens, qui sont épanouissantes, et articuler ces finalités ».
« Pour cela, il y a un certain nombre de déconstructions qu’il fallait opérer », a-t-il précisé devant une forte mobilisation de la communauté universitaire.
« Les sociétés ont leurs temps propres. C’est pour cela que je suis contre l’idée de rattrapage. Cette idée s’inscrit dans la temporalité de l’autre. Celui que vous rattraper est en mouvement, c’est s’inscrire dans le fait que la cible est externe », explique cet économiste, universitaire et musicien.
« Nos défis et problématiques, nous pouvons les prendre en charge. Nous ne sommes pas dans une course, c’est enfantin de faire comme … », souligne-t-il.
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