L’international sénégalais El Hadj Diouf qui a écopé de cinq ans de suspension par la commission de discipline de la Fédération sénégalaise de football (FSF), suite à ses déclarations sur l’intégrité morale des responsables fédéraux, est revenu à son habitude pour mettre de l'huile sur le feu déjà attisé.
‘’La Commission de discipline, statuant par défaut à l’encontre du mis en cause, après en avoir délibéré, a inflige au footballeur professionnel El Hadj Ousseynou DIOUF l’interdiction d’exercer toute activité relative au football pour une période de cinq (05) ans, avec prise d’effet à compter de la notification de la présente décision’’. Interrogé par les journalistes de la radio ZikFm, le bad boy jetseteur du Foot sénégalais n'a pas fait dans la langue de bois. Il a traité encore une fois les dirigeants du foot sénégalais de « tocards » et a promis de revenir avec toutes ses forces pour les « faire mentir ».
"Si l'un d'eux avait par devers lui les clés du paradis, je vous jure qu'il ne laisserai même pas ses parents rentrer au paradis." « Ils sont tous jaloux de moi – ils sont tous une fois venus pleurnicher dans ma chambre ou me courir après pour que je leur laisse mon maillot ou mes sandales. C'est pas maintenant que je vais les laisser me monter par dessus la tête » lance t-il presque remonté avec des propos qu'on vous propose d'écouter.
‘’La Commission de discipline, statuant par défaut à l’encontre du mis en cause, après en avoir délibéré, a inflige au footballeur professionnel El Hadj Ousseynou DIOUF l’interdiction d’exercer toute activité relative au football pour une période de cinq (05) ans, avec prise d’effet à compter de la notification de la présente décision’’. Interrogé par les journalistes de la radio ZikFm, le bad boy jetseteur du Foot sénégalais n'a pas fait dans la langue de bois. Il a traité encore une fois les dirigeants du foot sénégalais de « tocards » et a promis de revenir avec toutes ses forces pour les « faire mentir ».
"Si l'un d'eux avait par devers lui les clés du paradis, je vous jure qu'il ne laisserai même pas ses parents rentrer au paradis." « Ils sont tous jaloux de moi – ils sont tous une fois venus pleurnicher dans ma chambre ou me courir après pour que je leur laisse mon maillot ou mes sandales. C'est pas maintenant que je vais les laisser me monter par dessus la tête » lance t-il presque remonté avec des propos qu'on vous propose d'écouter.
Radio-0010.mp3 (1.18 Mo)
Radio-0011.mp3 (2.17 Mo)
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