Va-t-on vers la tenue d'élections dans l'APR Saint-Louis pour mettre un terme au débat mitigé sur la meilleure candidature de ce parti aux élections locales de 2014 ? La "désaffection" autour du coordonnateur actuel, considéré par certains « frondeurs internes » comme une injonction forcée de Macky Sall, peut gravement nuire à l'emergence de ce parti, aux élections locales de 2014 à Saint-Louis.
Mansour Faye, le délégué à la solidarité, beau-frère du président est porté par ses inconditionnels militants. Il a posé plusieurs actes afin d'installer l'APR au devant de la scène politique saint-louisienne. Weekends marrons, visites de proximité, soutiens aux mosquées, lutte contre les inondations, actions sociales d'envergure, Mansour Faye est pour certain l'ultime choix pour conquérir le fauteuil de la Commune. Mais, ce leader, fragilisé par l'image du parrainnage politique traine encore les profondes sequelles des attaques de ces anciens compagnagons( Lamine Ndiaye, Amady Diallo).
Pourtant, en a croire certains militants, "d'autres alternatives plus crédibles" s'offrent à l'Alliance Pour La République qui se massifie, mais à compte-goutte. « L'APR dispose bien de ressources humaines de qualité, des Saint-louisiens de valeur à l'expérience politique incontestée avec une grande maitrise de l'administration publique », indique une militante proche d'un autre leader.
Pour elle, Mary Teuw Niane est le seul à même de pouvoir redresser la chute vertigineuse de Saint-Louis vers le sous-développement. Mary Teuw a été écarté, combattu parce qu'il semble être une menace. », dit-elle en indiquant que son « pragmatisme et son expérience doivent pousser les militants de l'APR Saint-Louis à s'approprier de l'=a vision du président Macky Sall : la Patrie avant le Parti ».
De l'autre côté, un autre candidat potentiel, marche en silence et s'offre la confiance des anciens libéraux et de plusieurs autres responsables politiques de l'ex Cap 21. Le Professeur Ablaye Sene, consultant et chercheur à l'Université Cheikh Anta Diop, actuel PCA de l'Anaq-Sup, poursuit la dynamique de massification de l'APR qu'il avait annoncé lors de sa rentrée politique à Guet Ndar. Loin des tintamarres et tambours, et « de Guet Ndar à Ngalèlle », il fonce vers son but. Pour certains analystes, cet administrateur rompu à la tête est le seul à pouvoir se dresser net contre la poussée libérale qui monte en puissance dans la langue de barbarie.
En plus de ces gros calibres, d'autres leaders voltigent dans l'ombre et s'inscrivent pour la course, en attendant l'heure fatidique. Banda Sarr, conseiller municipal et professeur au lycées Faidherbe de Saint-Louis, Serigne Lahbib Ndiaye, universitaire et coordonnateur du projet Onu Femmes. Sans oublier Alioune Badara Cissé, martyrisé par son exclusion des instances dirigeantes de l'APR et qui s'est déclaré candidat à la mairie contre la candidature de Mansour Faye.
L'APR devant l'embarras de choix risque de vivre le même sort que celui du PDS en 2009 si elle refuse de faire le bon choix intelligent. Qui incarne ce choix ? Aux militants de ce parti, de trancher.
Ndarinfo.com
Mansour Faye, le délégué à la solidarité, beau-frère du président est porté par ses inconditionnels militants. Il a posé plusieurs actes afin d'installer l'APR au devant de la scène politique saint-louisienne. Weekends marrons, visites de proximité, soutiens aux mosquées, lutte contre les inondations, actions sociales d'envergure, Mansour Faye est pour certain l'ultime choix pour conquérir le fauteuil de la Commune. Mais, ce leader, fragilisé par l'image du parrainnage politique traine encore les profondes sequelles des attaques de ces anciens compagnagons( Lamine Ndiaye, Amady Diallo).
Pourtant, en a croire certains militants, "d'autres alternatives plus crédibles" s'offrent à l'Alliance Pour La République qui se massifie, mais à compte-goutte. « L'APR dispose bien de ressources humaines de qualité, des Saint-louisiens de valeur à l'expérience politique incontestée avec une grande maitrise de l'administration publique », indique une militante proche d'un autre leader.
Pour elle, Mary Teuw Niane est le seul à même de pouvoir redresser la chute vertigineuse de Saint-Louis vers le sous-développement. Mary Teuw a été écarté, combattu parce qu'il semble être une menace. », dit-elle en indiquant que son « pragmatisme et son expérience doivent pousser les militants de l'APR Saint-Louis à s'approprier de l'=a vision du président Macky Sall : la Patrie avant le Parti ».
De l'autre côté, un autre candidat potentiel, marche en silence et s'offre la confiance des anciens libéraux et de plusieurs autres responsables politiques de l'ex Cap 21. Le Professeur Ablaye Sene, consultant et chercheur à l'Université Cheikh Anta Diop, actuel PCA de l'Anaq-Sup, poursuit la dynamique de massification de l'APR qu'il avait annoncé lors de sa rentrée politique à Guet Ndar. Loin des tintamarres et tambours, et « de Guet Ndar à Ngalèlle », il fonce vers son but. Pour certains analystes, cet administrateur rompu à la tête est le seul à pouvoir se dresser net contre la poussée libérale qui monte en puissance dans la langue de barbarie.
En plus de ces gros calibres, d'autres leaders voltigent dans l'ombre et s'inscrivent pour la course, en attendant l'heure fatidique. Banda Sarr, conseiller municipal et professeur au lycées Faidherbe de Saint-Louis, Serigne Lahbib Ndiaye, universitaire et coordonnateur du projet Onu Femmes. Sans oublier Alioune Badara Cissé, martyrisé par son exclusion des instances dirigeantes de l'APR et qui s'est déclaré candidat à la mairie contre la candidature de Mansour Faye.
L'APR devant l'embarras de choix risque de vivre le même sort que celui du PDS en 2009 si elle refuse de faire le bon choix intelligent. Qui incarne ce choix ? Aux militants de ce parti, de trancher.
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