Un homme sous l’emprise de la jalousie a tué sa belle-mère et blessé grièvement sa femme, dans la nuit de jeudi à vendredi à Sinthiou Bamambé, dans le département de Kanel, a appris l’APS.
La belle-mère est décédée des suites de ses blessures, à l’hôpital de Ourossogui, près de Matam, où elle avait été évacuée avec sa fille qui, elle, a été placée sous surveillance.
‘’Ma femme et moi, nous avons été tirés de notre sommeil par des cris provenant de la maison voisine. Arrivé sur les lieux, j’ai croisé dans un premier temps la jeune dame ensanglantée qui m’a dit qu’elle et sa mère ont été attaquées par une personne non identifiée’’, a raconté un témoin.
Ce dernier affirme qu’il a trouvé la belle-mère dans une chambre de la maison, baignant dans son sang. Le témoin indique qu’il a alors pris sa charrette pour acheminer les deux blessées au poste de santé du village.
Mais après avoir prodigué quelques soins, l’infirmier a demandé l’évacuation des patients, prévenant qu’il n’y avait ni carburant ni chauffeur pour l’ambulance.
Il a fallu la bonne volonté d’un parent proche pour évacuer les blessées et l’intervention des gendarmes pour maîtriser l’homme qui a opposé une résistance farouche aux habitants.
Selon les premières confidences recueillies dans le village, le seul tort de l’épouse a été d’avoir déserté le domicile conjugal pour regagner la maison familiale.
APS
La belle-mère est décédée des suites de ses blessures, à l’hôpital de Ourossogui, près de Matam, où elle avait été évacuée avec sa fille qui, elle, a été placée sous surveillance.
‘’Ma femme et moi, nous avons été tirés de notre sommeil par des cris provenant de la maison voisine. Arrivé sur les lieux, j’ai croisé dans un premier temps la jeune dame ensanglantée qui m’a dit qu’elle et sa mère ont été attaquées par une personne non identifiée’’, a raconté un témoin.
Ce dernier affirme qu’il a trouvé la belle-mère dans une chambre de la maison, baignant dans son sang. Le témoin indique qu’il a alors pris sa charrette pour acheminer les deux blessées au poste de santé du village.
Mais après avoir prodigué quelques soins, l’infirmier a demandé l’évacuation des patients, prévenant qu’il n’y avait ni carburant ni chauffeur pour l’ambulance.
Il a fallu la bonne volonté d’un parent proche pour évacuer les blessées et l’intervention des gendarmes pour maîtriser l’homme qui a opposé une résistance farouche aux habitants.
Selon les premières confidences recueillies dans le village, le seul tort de l’épouse a été d’avoir déserté le domicile conjugal pour regagner la maison familiale.
APS