Agée de seulement 24 ans, la Malienne Fatoumata Diawara a créé une application mobile « Ekeneya », qui signifie (la santé en ligne) en langue bambara, disponible sur playstore et dont une nouvelle version a été mise en ligne en juin 2018 et couvre plusieurs villes du Mali. L’objectif est simple: géo-localiser les structures de santé, mais pas seulement.
Fatoumata Diawara, née le 04 janvier 1992 à Bamako, est la benjamine d’une famille de quatre (4) filles. Après son Baccalauréat scientifique en 2008, elle décroche son Master en Réseaux et Télécommunications à l’Université Amadou Hampaté Bah de Dakar, au Sénégal.
Comment a-t-elle eu l’idée de créer cette application ? C’est au cours d’un malaise que son père a eu en février 2014 que Fatoumata a eu l’idée d’un tel projet.
Mettre en place une application mobile "Ekeneya" qui permet de géo-localiser les structures de santé, la prise de rendez-vous et la liste des médicaments pris en charge par l’Assurance maladie obligatoire (Amo), un système de protection sociale qui permet aux Maliens d’accéder au soin de santé à moindre frais.
« Ekeneya » aide les usagers à prendre des décisions en temps réel, donne des informations de base sur la santé au Mali et sur presque toute l’étendue du territoire national.
Dans le processus de création de l’application, les difficultés n’ont pas manqué. Des problèmes de fonds passant par le recensement de toutes les structures et agents de santé au Mali, cela n’a pas été une chose facile.
Fatoumata Diawara est promotrice de AKDI, une entreprise individuelle créée en 2016 évoluant dans le domaine de la santé à travers les TIC. L’entreprise est implantée à Bamako dont le siège est à Kalaban-coura, un quartier populaire de la capitale malienne.
Mariée et mère d’une fille, Mme Diawara, qui eu personnellement à investir dans ce projet, sans avoir de retour jusque-là, travaille aussi dans une société de télécommunications à Bamako depuis fin 2014.
Lors de la préparation de son mémoire de fin d’étude en MBA en Marketing et Stratégie au Centre Africain d’Etudes Supérieures en Gestion (CESAG) à Dakar en 2014, elle a découvert une fibre entrepreneuriale en travaillant avec une start-up sénégalaise. A partir de ce moment, elle s’est dite que le développement de l’Afrique passe par là.
« N’abandonnez jamais vos rêves et donnez-vous les moyens de les réaliser. Voici ma citation préférée : pour réussir retenez ces trois maximes : voir c’est savoir, vouloir c’est pouvoir, oser c’est avoir », a-t-elle lancé aux jeunes africains.
PRESSAFRIK
Fatoumata Diawara, née le 04 janvier 1992 à Bamako, est la benjamine d’une famille de quatre (4) filles. Après son Baccalauréat scientifique en 2008, elle décroche son Master en Réseaux et Télécommunications à l’Université Amadou Hampaté Bah de Dakar, au Sénégal.
Comment a-t-elle eu l’idée de créer cette application ? C’est au cours d’un malaise que son père a eu en février 2014 que Fatoumata a eu l’idée d’un tel projet.
Mettre en place une application mobile "Ekeneya" qui permet de géo-localiser les structures de santé, la prise de rendez-vous et la liste des médicaments pris en charge par l’Assurance maladie obligatoire (Amo), un système de protection sociale qui permet aux Maliens d’accéder au soin de santé à moindre frais.
« Ekeneya » aide les usagers à prendre des décisions en temps réel, donne des informations de base sur la santé au Mali et sur presque toute l’étendue du territoire national.
Dans le processus de création de l’application, les difficultés n’ont pas manqué. Des problèmes de fonds passant par le recensement de toutes les structures et agents de santé au Mali, cela n’a pas été une chose facile.
Fatoumata Diawara est promotrice de AKDI, une entreprise individuelle créée en 2016 évoluant dans le domaine de la santé à travers les TIC. L’entreprise est implantée à Bamako dont le siège est à Kalaban-coura, un quartier populaire de la capitale malienne.
Mariée et mère d’une fille, Mme Diawara, qui eu personnellement à investir dans ce projet, sans avoir de retour jusque-là, travaille aussi dans une société de télécommunications à Bamako depuis fin 2014.
Lors de la préparation de son mémoire de fin d’étude en MBA en Marketing et Stratégie au Centre Africain d’Etudes Supérieures en Gestion (CESAG) à Dakar en 2014, elle a découvert une fibre entrepreneuriale en travaillant avec une start-up sénégalaise. A partir de ce moment, elle s’est dite que le développement de l’Afrique passe par là.
« N’abandonnez jamais vos rêves et donnez-vous les moyens de les réaliser. Voici ma citation préférée : pour réussir retenez ces trois maximes : voir c’est savoir, vouloir c’est pouvoir, oser c’est avoir », a-t-elle lancé aux jeunes africains.
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