Après une heure d'échange de tirs entre la centaine d'assaillants et la dizaine de militaires et policiers chargés de la sécurité de cette prison, les miliciens sont parvenus à enfoncer la porte de la prison et à libérer les prisonniers. Parmi les tués, on compte un militaire, un détenu et deux miliciens, ont indiqué des sources militaires.
L'attaque de la prison centrale de Beni, située à environ sept kilomètres du centre-ville, a eu lieu aux environs de 4 heures du matin. Les miliciens Maï-Maï étaient armés de machettes, de couteaux et de quelques armes individuelles.
Selon le commandant intérimaire du 1er secteur des Forces armées de la RDC (FARDC) basées à Beni, le colonel Richard Bisamaza, l'objectif des Maï-Maï était de libérer tous les prisonniers. Ils se sont cependant heurtés à la résistance des forces de sécurité commises à la garde de cette prison, a-t-il indiqué à Radio Okapi, parrainée par l'ONU.
Le colonel Bisamaza a assuré que l'armée s'était lancée à la recherche des détenus évadés et à la poursuite des miliciens Maï-Maï.
La prison centrale de Beni comptait 336 détenus, dont des condamnés à mort et d'anciens membres de groupes armés. Par cette attaque, ces miliciens visaient entre autres à grossir leurs rangs en recrutant des condamnés.
Dans la nuit de samedi à dimanche, plus de 500 détenus avaient tenté, mais sans succès, de s'évader de la prison de Munzenze, à Goma, le chef-lieu du Nord-Kivu.
7SUR7
L'attaque de la prison centrale de Beni, située à environ sept kilomètres du centre-ville, a eu lieu aux environs de 4 heures du matin. Les miliciens Maï-Maï étaient armés de machettes, de couteaux et de quelques armes individuelles.
Selon le commandant intérimaire du 1er secteur des Forces armées de la RDC (FARDC) basées à Beni, le colonel Richard Bisamaza, l'objectif des Maï-Maï était de libérer tous les prisonniers. Ils se sont cependant heurtés à la résistance des forces de sécurité commises à la garde de cette prison, a-t-il indiqué à Radio Okapi, parrainée par l'ONU.
Le colonel Bisamaza a assuré que l'armée s'était lancée à la recherche des détenus évadés et à la poursuite des miliciens Maï-Maï.
La prison centrale de Beni comptait 336 détenus, dont des condamnés à mort et d'anciens membres de groupes armés. Par cette attaque, ces miliciens visaient entre autres à grossir leurs rangs en recrutant des condamnés.
Dans la nuit de samedi à dimanche, plus de 500 détenus avaient tenté, mais sans succès, de s'évader de la prison de Munzenze, à Goma, le chef-lieu du Nord-Kivu.
7SUR7