Au Sénégal, des centaines de femmes continuent de vivre le calvaire dans leurs foyers. A l’occasion de la célébration de la Journée sur les violences faites aux femmes qui marque le début des 16 jours d’activisme, l’Association des juristes Sénégalaises (Ajs), est monté au créneau.
Coordinatrice de la Boutique de droit de Pikine, Amy Sakho, par ailleurs, chargée de Communication de ladite association a chiffré à 1 332, le nombre de cas de femmes et de petites filles victimes de violences enregistré entre janvier 2015 et octobre 2016.
Dans le communiqué qui nous est parvenu, il est souligné que ces statistiques sont celles de ses Boutiques de droit implantées à la Médina, à Pikine et à Ziguinchor.
«Ces statistiques démontrent que les violences n’ont pas connu de recul au Sénégal, d’où la nécessité d’une synergie d’action entre l’Etat et toutes les organisations de la société civile intervenant dans ce domaine», regrette-t-elle.
SENEWEB
Coordinatrice de la Boutique de droit de Pikine, Amy Sakho, par ailleurs, chargée de Communication de ladite association a chiffré à 1 332, le nombre de cas de femmes et de petites filles victimes de violences enregistré entre janvier 2015 et octobre 2016.
Dans le communiqué qui nous est parvenu, il est souligné que ces statistiques sont celles de ses Boutiques de droit implantées à la Médina, à Pikine et à Ziguinchor.
«Ces statistiques démontrent que les violences n’ont pas connu de recul au Sénégal, d’où la nécessité d’une synergie d’action entre l’Etat et toutes les organisations de la société civile intervenant dans ce domaine», regrette-t-elle.
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