Trois unités installées dans les villages de Ronkh, Pomo et Mbagam (respectivement dans les communes de Ronkh, Mbane et Rosso Sénégal dans le Département de Dagana) s’activent dans la production du charbon bio de typha qui se veut de changer les habitudes de consommation des populations de sa zone de production en combustible pour la cuisson. Le projet porté par l’ONG GRET a été financé par la Fondation Cartier et a bouclé sa première phase avec succès. Les GIE enrôlés dans la dynamique ont reçu, hier, des tricycles des mains de la représentante résidente du GRET au Sénégal, Mme Emilie BARRAU. Des attestations ont été remises aux bénéficiaires des sessions de formation sur la technique de production.
Le typha renforce la fraternité sénégalo-mauritanienne
Au départ, il s’agissait d’un projet de recherche, avec un transfert de technologie de la Mauritanie vers le Sénégal. Les volets techniques et de suivi environnemental ont été réalisés par l’ISET de Rosso et l’UGB de Saint-Louis. L’ISET de Rosso a réalisé les activités de formation sur la technique de fabrication des équipements artisanaux de production. A ce titre 5 artisans sénégalais ont été formés par l’ISET, et accompagnés par l’équipe technique du projet notamment sur l’adaptation et l’optimisation de ces équipements, mais aussi un contrôle qualité du charbon rigoureux, avec une bonne implication de l’ISET.
L’UGB a réalisé les activités de suivi et de contrôle des impacts sanitaires et environnementaux liés à l’évolution de la présence du Typha dans les zones de coupe, mais aussi la cartographie par drone de l’occupation du typha dans la zone d’intervention du projet. L’objectif global du projet était de mettre en place une filière locale de charbon de Typha durable et inclusive, créatrice d’activités génératrices de revenus. A la fin de la mise en œuvre de cette première phase, le défi, selon Mme Aminata NDIR SALL Chef de projet Typha Sénégal, réside dans l’accompagnement des ces entreprises naissantes dans la commercialisation du charbon de typha et le plaidoyer auprès des collectivités locales et des pouvoirs institutionnels de contrôle de la ressource, pour appuyer ces entrepreneurs.
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Le typha renforce la fraternité sénégalo-mauritanienne
Au départ, il s’agissait d’un projet de recherche, avec un transfert de technologie de la Mauritanie vers le Sénégal. Les volets techniques et de suivi environnemental ont été réalisés par l’ISET de Rosso et l’UGB de Saint-Louis. L’ISET de Rosso a réalisé les activités de formation sur la technique de fabrication des équipements artisanaux de production. A ce titre 5 artisans sénégalais ont été formés par l’ISET, et accompagnés par l’équipe technique du projet notamment sur l’adaptation et l’optimisation de ces équipements, mais aussi un contrôle qualité du charbon rigoureux, avec une bonne implication de l’ISET.
L’UGB a réalisé les activités de suivi et de contrôle des impacts sanitaires et environnementaux liés à l’évolution de la présence du Typha dans les zones de coupe, mais aussi la cartographie par drone de l’occupation du typha dans la zone d’intervention du projet. L’objectif global du projet était de mettre en place une filière locale de charbon de Typha durable et inclusive, créatrice d’activités génératrices de revenus. A la fin de la mise en œuvre de cette première phase, le défi, selon Mme Aminata NDIR SALL Chef de projet Typha Sénégal, réside dans l’accompagnement des ces entreprises naissantes dans la commercialisation du charbon de typha et le plaidoyer auprès des collectivités locales et des pouvoirs institutionnels de contrôle de la ressource, pour appuyer ces entrepreneurs.
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