Le réseau pour une politique migratoire alternative a organisé samedi un panel sur les modalités d’accompagnement des migrants de retour et les politiques préventives de lutte contre la ruée vers l’inconnu.
Portée par la Fondation Rosa Luxembourg qui œuvre pour une migration respectueuse des droits et libertés fondamentales, cette dynamique offre une occasion de vulgariser un ouvrage intitulé « réflexion contributive : quelle politique migratoire pour le Sénégal ».
Après Dakar, Mbour et Thiès, les organisations d’appui à la réinsertion des migrants de la zone Nord ont été conviés autour d’un panel sur la question.
« Les migrants de retour doivent être accompagnés pour leur permettre de réussir leur réintégration sociale et économique », a déclaré El Modou GUEYE, coordonnateur du réseau. « Ils ont besoin d’informations, d’accompagnement, de formations, de financements et de suivi », a-t-il dit.
En a croire M. GUÈYE, « si les autorités les accompagnaient dans ce sens, ils pouraient réussir le slogan took fii, tekki fii (rester ici, réussir ici) ».
Portée par la Fondation Rosa Luxembourg qui œuvre pour une migration respectueuse des droits et libertés fondamentales, cette dynamique offre une occasion de vulgariser un ouvrage intitulé « réflexion contributive : quelle politique migratoire pour le Sénégal ».
Après Dakar, Mbour et Thiès, les organisations d’appui à la réinsertion des migrants de la zone Nord ont été conviés autour d’un panel sur la question.
« Les migrants de retour doivent être accompagnés pour leur permettre de réussir leur réintégration sociale et économique », a déclaré El Modou GUEYE, coordonnateur du réseau. « Ils ont besoin d’informations, d’accompagnement, de formations, de financements et de suivi », a-t-il dit.
En a croire M. GUÈYE, « si les autorités les accompagnaient dans ce sens, ils pouraient réussir le slogan took fii, tekki fii (rester ici, réussir ici) ».