Lors de la cérémonie de remise des attestations, le professeur Momar Talla, directeur général de l’ITA, a souligné l’impact rapide de cette formation, affirmant que « après seulement un mois, 34 % des participants ont déjà démarré leur activité ». Il a aussi mis en avant la capacité de l'ITA à accueillir tous les profils, diplômés comme non diplômés, avec pour objectif de rendre chaque bénéficiaire autonome à l’issue de la session.
Le professeur Guèye a révélé que sur l’objectif initial de former 1 000 jeunes, l’ITA a finalement formé 1 028 participants, représentant ainsi un taux de réussite de 103 %.
La cérémonie fut l'occasion pour le PDCEJ de présenter son bilan et ses perspectives d’avenir. Ibrahima Ciss, responsable du Suivi-Évaluation du projet, a détaillé que 2 935 jeunes et femmes ont été formés dans cinq régions, dont 1 028 grâce à l’ITA. En outre, le projet a permis d'incuber 496 individus dans des secteurs variés tels que l'agro-industrie et les énergies renouvelables.
Pour soutenir ces entrepreneurs, le PDCEJ a établi des partenariats avec la Banque Africaine de Développement (BAD) et La Banque Agricole (LBA). Ces collaborations visent à faciliter l'accès au financement, permettant ainsi aux jeunes entrepreneurs de développer leurs projets, a-t-il indiqué.
M. Ciss d’annoncer en outre la construction de trois centres de formation. L'un sera dédié aux métiers du pétrole et du gaz implanté à Bango, un autre portera sur les métiers du Cuir à Ngaye Mékhé, et un troisième sera consacré à l’agroalimentaire, au siège de l’ITA.
Le professeur Guèye a révélé que sur l’objectif initial de former 1 000 jeunes, l’ITA a finalement formé 1 028 participants, représentant ainsi un taux de réussite de 103 %.
La cérémonie fut l'occasion pour le PDCEJ de présenter son bilan et ses perspectives d’avenir. Ibrahima Ciss, responsable du Suivi-Évaluation du projet, a détaillé que 2 935 jeunes et femmes ont été formés dans cinq régions, dont 1 028 grâce à l’ITA. En outre, le projet a permis d'incuber 496 individus dans des secteurs variés tels que l'agro-industrie et les énergies renouvelables.
Pour soutenir ces entrepreneurs, le PDCEJ a établi des partenariats avec la Banque Africaine de Développement (BAD) et La Banque Agricole (LBA). Ces collaborations visent à faciliter l'accès au financement, permettant ainsi aux jeunes entrepreneurs de développer leurs projets, a-t-il indiqué.
M. Ciss d’annoncer en outre la construction de trois centres de formation. L'un sera dédié aux métiers du pétrole et du gaz implanté à Bango, un autre portera sur les métiers du Cuir à Ngaye Mékhé, et un troisième sera consacré à l’agroalimentaire, au siège de l’ITA.