Ne pouvant plus contenir une série de promesses de paiement non tenues, les agents se sont assemblés hier devant l’hôtel de ville pour « sensibiliser le maire sur l’injustice que nous subissons ». Elles seront expulsées des lieux et des environs jusqu’au bureau du chef des services techniques municipaux. Les travailleurs du FERA se sont retrouvées finalement devant le siège de la SONATEL pour exprimer leur ras-le-bol devant la presse.
« Un de nos camarades a été touché par un tir d’un des FDS. Il est actuellement admis aux soins », ont-ils révélé. « Nous ne méritons pas ce traitement inhumain. Nous n’avons commis aucun délit », peste un des agents, visiblement dépité.
« Depuis la Tabaski, nous n’avons pas reçu nos salaires. Nous ne pouvons plus continuer de courir derrière nos droits. Nous voulons qu’on nous paie une bonne fois pour toutes », a-t-il ajouté.
« Un de nos camarades a été touché par un tir d’un des FDS. Il est actuellement admis aux soins », ont-ils révélé. « Nous ne méritons pas ce traitement inhumain. Nous n’avons commis aucun délit », peste un des agents, visiblement dépité.
« Depuis la Tabaski, nous n’avons pas reçu nos salaires. Nous ne pouvons plus continuer de courir derrière nos droits. Nous voulons qu’on nous paie une bonne fois pour toutes », a-t-il ajouté.