La région de Saint-Louis compte 23 projets en sécurité alimentaire et nutritionnelle, a affirmé Babacar Mbaye Baldé, chef du service régional du Secrétariat exécutif du Conseil national de sécurité alimentaire (SE/SNCA).
Il intervenait ce lundi à l’occasion de l’atelier de partage des résultats de la cartographie des projets et programmes en sécurité alimentaire et nutritionnelle de la région de Saint-Louis.
Plusieurs structures comme Enda Pronat, le service régional de l’agriculture et l’Institut sénégalais de recherche agricole, ont pris part à cet atelier dont l’objectif est d’harmoniser les intervention dans ce domaine vital pour le pays, a expliqué M. Baldé.
Il a noté la difficulté pour le service régional du Secrétariat exécutif du Conseil national de sécurité alimentaire (SE /SNCA) à obtenir les renseignements auprès de certaines structures évoluant dans ce secteur qui rechignent à fournir les informations nécessaires.
Pourtant cet exercice permet aux autorités qui ont mis en place le SE/CNSA d’avoir la bonne information et d’intervenir en cas de situation de catastrophe, a-t-il expliqué.
"Cet exercice devrait être un travail très simple car nous sommes tous complémentaires et visons le même but à savoir le bien-être de la population », a-t-il rappelé.
M. Baldé a également déploré la léthargie du comité régional pour la sécurité alimentaire mis en place depuis 2015 et qui jusqu’ici n’a pas été convoqué.
APS
Il intervenait ce lundi à l’occasion de l’atelier de partage des résultats de la cartographie des projets et programmes en sécurité alimentaire et nutritionnelle de la région de Saint-Louis.
Plusieurs structures comme Enda Pronat, le service régional de l’agriculture et l’Institut sénégalais de recherche agricole, ont pris part à cet atelier dont l’objectif est d’harmoniser les intervention dans ce domaine vital pour le pays, a expliqué M. Baldé.
Il a noté la difficulté pour le service régional du Secrétariat exécutif du Conseil national de sécurité alimentaire (SE /SNCA) à obtenir les renseignements auprès de certaines structures évoluant dans ce secteur qui rechignent à fournir les informations nécessaires.
Pourtant cet exercice permet aux autorités qui ont mis en place le SE/CNSA d’avoir la bonne information et d’intervenir en cas de situation de catastrophe, a-t-il expliqué.
"Cet exercice devrait être un travail très simple car nous sommes tous complémentaires et visons le même but à savoir le bien-être de la population », a-t-il rappelé.
M. Baldé a également déploré la léthargie du comité régional pour la sécurité alimentaire mis en place depuis 2015 et qui jusqu’ici n’a pas été convoqué.
APS