L’Office des Lacs et Cours d’eau du Sénégal (OLAC) a annoncé mercredi la mise en place d’un cadre de gouvernance intégré et durable du Lac de Guiers. Cette initiative, soutenue par la coopération Belge, encourage la réglementation de l’usage des pesticides et des engrais chimiques dans les activités agricoles sur les périphéries de ce cours d’eau vitale.
« L’État du Sénégal accorde une importance capitale à cette réserve d’eau douce. Elle représente 55 % des besoins de la capitale Dakar. Elle alimente beaucoup de villes secondaires », a rappelé Boubacar CISSÉ, le directeur des Études et de la Réglementation de l’OLAC en marge d’un atelier sur le thème : "Réflexion sur un plan de gestion intégrée de la pollution d’origine anthropique dans le bassin du lac de Guiers".
« Au fil du plan en perspective, des ateliers, un plan de communication et des formations sur les bonnes pratiques agricoles seront déroulés », a-t-il expliqué. Pour lui, les échanges tenus ce matin entre les différentes parties prenantes du Lac, « vont contribuer à maîtriser tout ce qui est facteur dégradant de la qualité de l’eau ».
Grâce au concours de la coopération Belge, un diagnostic de la situation actuelle du Lac a été probablement. Les conclusions ont été présentées en marge de la rencontre.
« Des enquêtes en sciences sociales ont été réalisées auprès des producteurs, des vendeurs de pesticides, des personnels de santé et des gestionnaires. Des échantillons d’eau, de sédiments et de poissons ont été collectés », a renseigné Al Ousseynou BA, coordonnateur de ce programme bilatéral.
« Les données révèlent un début de dégradation. Cela mérite l’attention de toutes les parties prenantes », a-t-il dit avant d’appeler à une mobilisation des usagers et des autorités pour protéger la ressource.
« L’État du Sénégal accorde une importance capitale à cette réserve d’eau douce. Elle représente 55 % des besoins de la capitale Dakar. Elle alimente beaucoup de villes secondaires », a rappelé Boubacar CISSÉ, le directeur des Études et de la Réglementation de l’OLAC en marge d’un atelier sur le thème : "Réflexion sur un plan de gestion intégrée de la pollution d’origine anthropique dans le bassin du lac de Guiers".
« Au fil du plan en perspective, des ateliers, un plan de communication et des formations sur les bonnes pratiques agricoles seront déroulés », a-t-il expliqué. Pour lui, les échanges tenus ce matin entre les différentes parties prenantes du Lac, « vont contribuer à maîtriser tout ce qui est facteur dégradant de la qualité de l’eau ».
Grâce au concours de la coopération Belge, un diagnostic de la situation actuelle du Lac a été probablement. Les conclusions ont été présentées en marge de la rencontre.
« Des enquêtes en sciences sociales ont été réalisées auprès des producteurs, des vendeurs de pesticides, des personnels de santé et des gestionnaires. Des échantillons d’eau, de sédiments et de poissons ont été collectés », a renseigné Al Ousseynou BA, coordonnateur de ce programme bilatéral.
« Les données révèlent un début de dégradation. Cela mérite l’attention de toutes les parties prenantes », a-t-il dit avant d’appeler à une mobilisation des usagers et des autorités pour protéger la ressource.