Le collège des écoles doctorales a co-organisé avec le collectif des doctorants de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, la 11e édition des journées scientifiques sur le thème : « Recherche universitaire et valorisation des résultats ». Une occasion saisie par le professeur Ngalla Djité, directeur de l’école doctorale des sciences et technologies pour souligner l’importance de la recherche en milieu universitaire et ses impacts sur la vie socioéconomique.
« En tant qu’ enseignants-chercheurs, nous avons des charges d’enseignement, mais également une charge de recherche. Dans certains pays, il y a le statut d’enseignant tout court, il y a le statut de recherche tout court, comme il y a le statut d’enseignant-chercheur. Mais au Sénégal, dans nos universités publiques, il y a des centres de recherche et il n’y a que le statut d’ enseignant-chercheur qui existe. Cela veut dire que nous avons une charge de recherche », a-t-il indiqué en marge de l’ouverture des travaux.
Il a plaidé pour un meilleur engagement de l’État en faveur de la recherche en déplorant que 95 % du budget soit consacré à la pédagogie. « À l’université, on fait beaucoup de pédagogie et on fait peu de recherche. Chaque fois qu’il y a des crises au sein des universités, elles sont liées à la pédagogie. Nous sommes toujours en train de régler des problèmes pédagogiques et on a peu de temps pour se consacrer à la recherche », a regretté M. Djité.
« En tant qu’ enseignants-chercheurs, nous avons des charges d’enseignement, mais également une charge de recherche. Dans certains pays, il y a le statut d’enseignant tout court, il y a le statut de recherche tout court, comme il y a le statut d’enseignant-chercheur. Mais au Sénégal, dans nos universités publiques, il y a des centres de recherche et il n’y a que le statut d’ enseignant-chercheur qui existe. Cela veut dire que nous avons une charge de recherche », a-t-il indiqué en marge de l’ouverture des travaux.
Il a plaidé pour un meilleur engagement de l’État en faveur de la recherche en déplorant que 95 % du budget soit consacré à la pédagogie. « À l’université, on fait beaucoup de pédagogie et on fait peu de recherche. Chaque fois qu’il y a des crises au sein des universités, elles sont liées à la pédagogie. Nous sommes toujours en train de régler des problèmes pédagogiques et on a peu de temps pour se consacrer à la recherche », a regretté M. Djité.