L’amertume s’est emparée du site Diougop où l'odeur du calciné entoure les cendres presque fumantes des unités d'habitation mobile emportées par un incendie d’une violence rare. Les victimes accusent leurs congénères récemment déguerpis d'être les auteurs d'une "tentative d'homicide".
" Ils nous avaient mis en garde le jour de leur déguerpissement. Ils ont attendu trois jours pour commettre leur forfaiture », assure Baye Fall THIAM. " Nous restons à l'écoute des autorités et des conclusions de l’enquête en cours. Nous ne laisserons pas cela passer. Tous nos biens ont été en poussière. Nous avons tout perdu", a-t-il ajouté.
La doyenne des déplacés de la Langue de Barbarie affiche son indignation et fustige un acte " horrible".
" Ils nous avaient mis en garde le jour de leur déguerpissement. Ils ont attendu trois jours pour commettre leur forfaiture », assure Baye Fall THIAM. " Nous restons à l'écoute des autorités et des conclusions de l’enquête en cours. Nous ne laisserons pas cela passer. Tous nos biens ont été en poussière. Nous avons tout perdu", a-t-il ajouté.
La doyenne des déplacés de la Langue de Barbarie affiche son indignation et fustige un acte " horrible".