Les organisations féminines et la société civile basées au Sénégal ont dressé un tableau noir des féminicides au Sénégal. Entre janvier 2019 et mars 2020, pas moins de 24 meurtres de femmes ont été enregistrés. Et au premier trimestre de l’année en cours, 5 femmes ont été tuées.
« Et l’année 2019 a été la plus meurtrière pour les femmes. Entre janvier et novembre 2019, on a répertorié 14 femmes tuées, a souligné Maimouna Astou Yade directrice de Jiguen Sénégal.
Avec un taux d’homicides conjugaux/familiaux de 3,1 pour 100 000 femmes, l’Afrique est la région où les femmes ont le plus de risques de se faire tuer par un partenaire intime ou un membre de la famille. Et le bonnet d’âne revient au Sénégal qui est considéré comme le pays le plus dangereux pour les femmes avec un taux de 87% de victimes, selon le rapport de l’ONU/Femme.
Le taux de prévalence des violences faites aux femmes et filles avoisine les 60% et varie d’une région à une autre. La région de Diourbel vient en tête avec 80% de femmes victimes de violences. Dakar 55% et Saint-Louis 45% ».
« Et l’année 2019 a été la plus meurtrière pour les femmes. Entre janvier et novembre 2019, on a répertorié 14 femmes tuées, a souligné Maimouna Astou Yade directrice de Jiguen Sénégal.
Avec un taux d’homicides conjugaux/familiaux de 3,1 pour 100 000 femmes, l’Afrique est la région où les femmes ont le plus de risques de se faire tuer par un partenaire intime ou un membre de la famille. Et le bonnet d’âne revient au Sénégal qui est considéré comme le pays le plus dangereux pour les femmes avec un taux de 87% de victimes, selon le rapport de l’ONU/Femme.
Le taux de prévalence des violences faites aux femmes et filles avoisine les 60% et varie d’une région à une autre. La région de Diourbel vient en tête avec 80% de femmes victimes de violences. Dakar 55% et Saint-Louis 45% ».