Des couloirs inondés où grouillent de larves de grenouilles, des murs fissurés en état d’affaissement imminent, un gazon déchiqueté, les toits des tribunes rouillés, un box pour la presse transformé en toilettes publiques, et puis, le temps d’éviter un tas de caca, un rat fuit … Ceci est le sort piteux et pitoyable du stade Me Babacar SEYE.
Malgré l’ampleur du danger et de la honte, l’ODCAV s’entête à exiger sa réouverture. Les questionnements sur cette motivation fusent, sans réponse valable et acceptable.
Des immondices dégagent une odeur puante et répugnante comme si, depuis sa fermeture aucune action n’a été entreprise pour nettoyer l’infrastructure. Alors que chaque zone débourse plus de 10.000 FCFA francs CFA pour chaque match. Pourtant des matchs s’affilent chaque jour pour une durée trois mois.
> Quelques images ...
Malgré l’ampleur du danger et de la honte, l’ODCAV s’entête à exiger sa réouverture. Les questionnements sur cette motivation fusent, sans réponse valable et acceptable.
Des immondices dégagent une odeur puante et répugnante comme si, depuis sa fermeture aucune action n’a été entreprise pour nettoyer l’infrastructure. Alors que chaque zone débourse plus de 10.000 FCFA francs CFA pour chaque match. Pourtant des matchs s’affilent chaque jour pour une durée trois mois.
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