Pour accompagner ses diplômés dans la recherche d’emplois et pour être plus utile à la communauté, l’Université Gaston Berger (Ugb) de Saint-Louis avait créé, en 2008, le Conseil d’orientation et de relation avec les milieux économiques (Corme). Ayant toutefois constaté que cette structure qui a permis, au début, d’avoir de bons résultats dans l’orientation professionnelle des diplômés et dans le partenariat avec les entreprises est en léthargie depuis 2012, les autorités ont décidé de la redynamiser.
C’est ainsi qu’une journée de réflexion a été tenue en présence des acteurs universitaires, des collectivités locales et du monde de l’entreprise pour voir comment avoir une université qui répond aux besoins de la société. Le recteur de l’Ugb, Baydallaye Kâne, a indiqué que le Corme est un cadre qui offre de l’expertise de part et d’autre.
« L’implication des acteurs privés dans l’élaboration des filières est importante. L’Ugb reste ouverte et peut beaucoup donner aux entreprises. Cette rencontre est une forme de réaffirmation de la volonté de l’Ugb de s’ouvrir davantage aux milieux socioéconomiques et d’accompagner ses diplômés dans leur insertion, en mettant en place un dispositif de formation et d’encadrement pour que ces derniers soient plus aptes à intégrer avec succès le marché du travail », a-t-il laissé entendre.
Aïda Mbaye Dieng, première adjointe au maire de Saint-Louis, qui pense que les collectivités locales sont les bénéficiaires directes des services rendus à la communauté par les universités, a invité à la relance de « ce consortium qui permettra aux mairies d’utiliser les produits des universités pour le bien-être des populations ».
Même avis chez le président de « Waa Sanar », association regroupant les anciens de l’Ugb, Aboubacar Sidy Sonko. Il a demandé l’implication de tous les cadres issus de cette université pour assurer un meilleur encadrement et une bonne insertion professionnelle aux étudiants. Quant au directeur exécutif de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes), Mor Talla Kane, il est d’avis qu’après l’affaiblissement de la Corme, il était important de réactiver cette structure. Pour lui, il faut que l’entreprise s’ouvre à l’école, afin qu’on connaisse ses besoins en termes de formation. Et pour une adéquation formation-emploi, a-t-il indiqué, il faut des hommes d’affaires de qualité qui auront besoin d’une main d’œuvre bien formée.
LE SOLEIL
C’est ainsi qu’une journée de réflexion a été tenue en présence des acteurs universitaires, des collectivités locales et du monde de l’entreprise pour voir comment avoir une université qui répond aux besoins de la société. Le recteur de l’Ugb, Baydallaye Kâne, a indiqué que le Corme est un cadre qui offre de l’expertise de part et d’autre.
« L’implication des acteurs privés dans l’élaboration des filières est importante. L’Ugb reste ouverte et peut beaucoup donner aux entreprises. Cette rencontre est une forme de réaffirmation de la volonté de l’Ugb de s’ouvrir davantage aux milieux socioéconomiques et d’accompagner ses diplômés dans leur insertion, en mettant en place un dispositif de formation et d’encadrement pour que ces derniers soient plus aptes à intégrer avec succès le marché du travail », a-t-il laissé entendre.
Aïda Mbaye Dieng, première adjointe au maire de Saint-Louis, qui pense que les collectivités locales sont les bénéficiaires directes des services rendus à la communauté par les universités, a invité à la relance de « ce consortium qui permettra aux mairies d’utiliser les produits des universités pour le bien-être des populations ».
Même avis chez le président de « Waa Sanar », association regroupant les anciens de l’Ugb, Aboubacar Sidy Sonko. Il a demandé l’implication de tous les cadres issus de cette université pour assurer un meilleur encadrement et une bonne insertion professionnelle aux étudiants. Quant au directeur exécutif de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes), Mor Talla Kane, il est d’avis qu’après l’affaiblissement de la Corme, il était important de réactiver cette structure. Pour lui, il faut que l’entreprise s’ouvre à l’école, afin qu’on connaisse ses besoins en termes de formation. Et pour une adéquation formation-emploi, a-t-il indiqué, il faut des hommes d’affaires de qualité qui auront besoin d’une main d’œuvre bien formée.
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