Souleymane Ndéné Ndiaye est prêt à essayer de réunir la grande famille libérale du Sénégal. Mais sans exclusive. Macky Sall appréciera.
Sans citer expressément Idrissa Seck, Souleymane Ndéné Ndiaye refuse toute exclusive dans les actuelles tentatives de réunification de la grande famille libérale du Sénégal. Celui qui a comme devise, sur sa page Facebook : "Echangeons plus et mieux autour de ce qui nous est le plus cher : Le Sénégal." semble surpris par la vague de sympathie nouvelle née de l'idée avancée quelque part d'en faire le parrain désintéressé du grand rassemblement libéral : « A équidistance des clans et tendances du Parti démocratique sénégalais depuis le début, il est, par la force des choses, l ’élément capable d’avoir les meilleures relations au monde avec toute la famille libérale du Sénégal et de la diaspora ; il y est entré plus comme avocat de Me Abdoulaye Wade que comme partisan », avancent les tenants de la thèse du grand rassemblement.
L’ancien Premier ministre renvoie cependant toutes les tendances, Macky Sall en premier, à la nécessité de composer avec tout le monde, jusques et y compris le maire de Thiès Idrissa Seck qu’il ne cite pas nommément. Il lui semble en effet que « ce serait une erreur de chercher à neutraliser ou à ignorer ou à se séparer de lui ». Bien plus, estime-t-il, rejoignant en cela ceux qui nourrissent l’espoir de grande réunification, « il faut faciliter les retrouvailles de la grande famille libérale qui est la seule alternative pour les prochaines années face aux menaces de plus en plus fortes d'explosion du Parti socialiste de l'Alliance des Forces de Progrès". Comme quoi la volonté de rassemblement n'exclut pas un penchant vers une famille plus que vers une autre.
Cette position n'est pas dogmatique ; bien au contraire, elle est une voie de recomposition du paysage politique sénégalais par la théorie mathématique des ensembles, avec des plages de collaboration (inclusion) non exclusives des larges zones de souveraineté et d'indépendance des formations et des hommes politiques de plus en plus débordés par la société civile plus directe, plus transparente et plus cohérente dans ses positions publiques.
Le noyau dur de cette grande famille libérale, au-delà du Pds originel, englobe un large spectrum social qui va de Serigne Diop et son Pds/Rénovation à Macky Sall (Alliance Pour la République), en passant par Pape Diop (Convention démocratique "Bokk Giss Giss) et Idrissa Seck et son "Rewmi", à titre principal, mais sans préjudice des autres amis et sympathisants du courant libéral, qu'ils soient au Sénégal ou ailleurs à travers le monde.
Idrissa Seck qui n'est pas dénué de ruse (mais pas d'intelligence) avait compris l'importance de l'enjeu, face au vide oppositionnel devant un Macky Sall gêné aux entournures par une conjoncture économique internationale des plus délicates ; l'agitation extrême du maire de Thiès et prédécesseur à la fois de Souleymane Ndéné Ndiaye et de Malcky Sall à la station primatoriale veut ainsi se poser en exutoire de ce grand courant renforcé par les déçus du Mackysme boiteux. Ses atermoiements entre la gauche libérale éparpillée (Abdoulaye Wade et le gouvernement arc-en-ciel de Abdou Mbaye) et les populations sénégalaises, au sens culturel du terme, en font un ambassadeur peu fiable parce que non sans malice. D'où l'appel à Souleymane Ndéné Ndiaye qui refuse cependant de déshabiller Jean pour vêtir Abdoulaye.
Sans citer expressément Idrissa Seck, Souleymane Ndéné Ndiaye refuse toute exclusive dans les actuelles tentatives de réunification de la grande famille libérale du Sénégal. Celui qui a comme devise, sur sa page Facebook : "Echangeons plus et mieux autour de ce qui nous est le plus cher : Le Sénégal." semble surpris par la vague de sympathie nouvelle née de l'idée avancée quelque part d'en faire le parrain désintéressé du grand rassemblement libéral : « A équidistance des clans et tendances du Parti démocratique sénégalais depuis le début, il est, par la force des choses, l ’élément capable d’avoir les meilleures relations au monde avec toute la famille libérale du Sénégal et de la diaspora ; il y est entré plus comme avocat de Me Abdoulaye Wade que comme partisan », avancent les tenants de la thèse du grand rassemblement.
L’ancien Premier ministre renvoie cependant toutes les tendances, Macky Sall en premier, à la nécessité de composer avec tout le monde, jusques et y compris le maire de Thiès Idrissa Seck qu’il ne cite pas nommément. Il lui semble en effet que « ce serait une erreur de chercher à neutraliser ou à ignorer ou à se séparer de lui ». Bien plus, estime-t-il, rejoignant en cela ceux qui nourrissent l’espoir de grande réunification, « il faut faciliter les retrouvailles de la grande famille libérale qui est la seule alternative pour les prochaines années face aux menaces de plus en plus fortes d'explosion du Parti socialiste de l'Alliance des Forces de Progrès". Comme quoi la volonté de rassemblement n'exclut pas un penchant vers une famille plus que vers une autre.
Cette position n'est pas dogmatique ; bien au contraire, elle est une voie de recomposition du paysage politique sénégalais par la théorie mathématique des ensembles, avec des plages de collaboration (inclusion) non exclusives des larges zones de souveraineté et d'indépendance des formations et des hommes politiques de plus en plus débordés par la société civile plus directe, plus transparente et plus cohérente dans ses positions publiques.
Le noyau dur de cette grande famille libérale, au-delà du Pds originel, englobe un large spectrum social qui va de Serigne Diop et son Pds/Rénovation à Macky Sall (Alliance Pour la République), en passant par Pape Diop (Convention démocratique "Bokk Giss Giss) et Idrissa Seck et son "Rewmi", à titre principal, mais sans préjudice des autres amis et sympathisants du courant libéral, qu'ils soient au Sénégal ou ailleurs à travers le monde.
Idrissa Seck qui n'est pas dénué de ruse (mais pas d'intelligence) avait compris l'importance de l'enjeu, face au vide oppositionnel devant un Macky Sall gêné aux entournures par une conjoncture économique internationale des plus délicates ; l'agitation extrême du maire de Thiès et prédécesseur à la fois de Souleymane Ndéné Ndiaye et de Malcky Sall à la station primatoriale veut ainsi se poser en exutoire de ce grand courant renforcé par les déçus du Mackysme boiteux. Ses atermoiements entre la gauche libérale éparpillée (Abdoulaye Wade et le gouvernement arc-en-ciel de Abdou Mbaye) et les populations sénégalaises, au sens culturel du terme, en font un ambassadeur peu fiable parce que non sans malice. D'où l'appel à Souleymane Ndéné Ndiaye qui refuse cependant de déshabiller Jean pour vêtir Abdoulaye.