Une foule nombreuse composée entre autres de membres du gouvernement, de personnalités politiques et religieuses et de journalistes a rendu un dernier hommage vendredi matin au journaliste et guide religieux Ahmed Bachir Kounta, rappelé à Dieu jeudi à Dakar.
Le Premier ministre Mahammed Dionne, l’ancien Premier ministre Hadjibou Soumaré, le ministre de l’Intérieur Aly Ngouille Ndiaye, ses collègues de l’Education nationale et de la Santé Serigne Mbaye Thiam et Abdoulaye Diouf Sarr et le marabout Pape Malick Sy ont asssisté à la cérémonie.
Les responsables actuels de la Radiodiffusion télévision sénégalaise (RTS, publique), où travaillait le défunt, ont également pris part à cette cérémonie, à laquelle étaient présents d’anciens directeurs de Radio Sénégal et de la télévision nationale, ainsi que d’anciens ministres et plusieurs journalistes, en activité ou à la retraite, et des chefs religieux.
Prenant la parole, l’ancien directeur de la RTS et ami du défunt, Pathé Fall Dièye, a rappelé les années d’enfance passées avec le défunt à Saint-Louis, ainsi que son parcours dans cette boîte.
Il a évoqué les qualités professionnelles de son ancien compagnon comme journaliste sportif.
De son côté, le marabout et porte-parole de la famille Sy de Tivaoune, Pape Malick Sy, affirme qu’on ne ‘’peut oublier Ahmeth Bachir Kounta’’. ‘’Bachir Kounta, on ne peut pas l’oublier et on ne va pas l’oublier’’, a insisté le marabout.
Le Directeur général de la RTS, Racine Talla, a demandé aux jeunes journalistes de prendre le défunt comme modèle. ‘’Ahmed Bachir Kounta n’est jamais parti à la retraite. Il a travaillé jusqu’à son dernier souffle avec professionnalisme’’, a magnifié Racine Talla.
Pour sa part, le Premier ministre s’est appesanti sur les ‘’ qualités multidimensionnelles’’ du défunt.
‘’La religion, la République, la presse et le monde de la formation ont perdu. Il avait toutes ses dimensions’’, a témoigné le chef du gouvernement.
Ahmed Bachir Kounta, retraité de la Radiodiffusion télévision sénégalaise (RTS, publique), sera inhumé à Ndiassane , dont il fut le porte-parole de la famille maraboutique pendant plusieurs années.
A la RTS, il a excellé comme présentateur du journal en langue nationale wolof et commentateur attitré des discours officiels et des grands évènements nationaux comme les fêtes nationales.
Il animait en même temps des émissions religieuses, faisant valoir sa grande érudition et sa parfaite maîtrise de l’arabe, du français et du wolof.
Bachir Kounta est présenté comme "un modèle" qui a inspiré des générations de journalistes.
Il a connu "les premiers temps de la radio" et la Télévision dans sa version moderne, a dit du défunt Babacar Diagne, ancien directeur général de la RTS, actuellement président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA).
Il fut "un homme élégant au vrai sens du terme", dans son port vestimentaire comme dans son verbe, a ajouté Babacar Diagne dans des propos rapportés par la Radio futurs médias (RFM, privée), rendant hommage à "un homme de son temps, un homme qui savait ce que parler veut dire".
Ahmed Bachir Kounta, lettré, était "en même temps un homme de religion qui a vécu dans les grandes cours" maraboutiques, a souligné l’ancien directeur de la RTS, avant de conclure : "Nous avons perdu un repère".
APS
Le Premier ministre Mahammed Dionne, l’ancien Premier ministre Hadjibou Soumaré, le ministre de l’Intérieur Aly Ngouille Ndiaye, ses collègues de l’Education nationale et de la Santé Serigne Mbaye Thiam et Abdoulaye Diouf Sarr et le marabout Pape Malick Sy ont asssisté à la cérémonie.
Les responsables actuels de la Radiodiffusion télévision sénégalaise (RTS, publique), où travaillait le défunt, ont également pris part à cette cérémonie, à laquelle étaient présents d’anciens directeurs de Radio Sénégal et de la télévision nationale, ainsi que d’anciens ministres et plusieurs journalistes, en activité ou à la retraite, et des chefs religieux.
Prenant la parole, l’ancien directeur de la RTS et ami du défunt, Pathé Fall Dièye, a rappelé les années d’enfance passées avec le défunt à Saint-Louis, ainsi que son parcours dans cette boîte.
Il a évoqué les qualités professionnelles de son ancien compagnon comme journaliste sportif.
De son côté, le marabout et porte-parole de la famille Sy de Tivaoune, Pape Malick Sy, affirme qu’on ne ‘’peut oublier Ahmeth Bachir Kounta’’. ‘’Bachir Kounta, on ne peut pas l’oublier et on ne va pas l’oublier’’, a insisté le marabout.
Le Directeur général de la RTS, Racine Talla, a demandé aux jeunes journalistes de prendre le défunt comme modèle. ‘’Ahmed Bachir Kounta n’est jamais parti à la retraite. Il a travaillé jusqu’à son dernier souffle avec professionnalisme’’, a magnifié Racine Talla.
Pour sa part, le Premier ministre s’est appesanti sur les ‘’ qualités multidimensionnelles’’ du défunt.
‘’La religion, la République, la presse et le monde de la formation ont perdu. Il avait toutes ses dimensions’’, a témoigné le chef du gouvernement.
Ahmed Bachir Kounta, retraité de la Radiodiffusion télévision sénégalaise (RTS, publique), sera inhumé à Ndiassane , dont il fut le porte-parole de la famille maraboutique pendant plusieurs années.
A la RTS, il a excellé comme présentateur du journal en langue nationale wolof et commentateur attitré des discours officiels et des grands évènements nationaux comme les fêtes nationales.
Il animait en même temps des émissions religieuses, faisant valoir sa grande érudition et sa parfaite maîtrise de l’arabe, du français et du wolof.
Bachir Kounta est présenté comme "un modèle" qui a inspiré des générations de journalistes.
Il a connu "les premiers temps de la radio" et la Télévision dans sa version moderne, a dit du défunt Babacar Diagne, ancien directeur général de la RTS, actuellement président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA).
Il fut "un homme élégant au vrai sens du terme", dans son port vestimentaire comme dans son verbe, a ajouté Babacar Diagne dans des propos rapportés par la Radio futurs médias (RFM, privée), rendant hommage à "un homme de son temps, un homme qui savait ce que parler veut dire".
Ahmed Bachir Kounta, lettré, était "en même temps un homme de religion qui a vécu dans les grandes cours" maraboutiques, a souligné l’ancien directeur de la RTS, avant de conclure : "Nous avons perdu un repère".
APS