« Le gaz découvert entre les deux pays doit être liquéfié avant d'être transporté par des bateaux appelés méthaniers d'où la complexité du schéma industriel qui nécessite un investissement de près de 8 milliards de dollars américains, soit de 5000 milliards CFA. Si l'accord n'existe pas, le gaz risque de ne pas être rentable pour l'opérateur British Pétrolieum et aussi pour les deux pays. Ainsi l'accord de partage signé entre les deux pays est équilibré et il garantit une exploitation durable des ressources dans la bonne entente entre les deux gouvernements », a déclaré Modibo Diop qui est Ingénieur Polytechnicien; ancien Auditeur du Centre d'Etudes Diplomatiques et Stratégiques de Paris (CEDS)..
A propos de la publication de cet accord, Modibo Diop est revenu sur le code pétrolier et les divers décrets révisés qui imposent la publication des contrats dans le Journal Officiel du Sénégal. « Ainsi l'accord en question sera publié après le circuit administratif de validation, ce qui du reste est en cours au niveau du Gouvernement. »
LERAL
A propos de la publication de cet accord, Modibo Diop est revenu sur le code pétrolier et les divers décrets révisés qui imposent la publication des contrats dans le Journal Officiel du Sénégal. « Ainsi l'accord en question sera publié après le circuit administratif de validation, ce qui du reste est en cours au niveau du Gouvernement. »
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