Une bonne nouvelle aux producteurs riziers de la vallée du fleuve Sénégal confrontes au stockage et à la dégradation en masse des balles de riz. Le Laboratoire « Biomasse-Energie » officiellement lancé jeudi par le recteur de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis, le professeur Magatte NDIAYE, va proposer la transformation de ces rejets massifs en énergie.
« La balle pourra être utilisée comme combustible par les exploitants », a renseigne Joseph BASSAMA, enseignant-chercheur et répondant du projet Biostar, porteur de cette dynamique novatrice qui ambitionne de renforcer un meilleur accès aux énergies renouvelables aux entreprises agroalimentaires.
C'est un programme initié grâce à l’appui du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement et l’Agence française de développement (AFD). Les recherches qui y sont menées sont essentiellement axées sur la récupération de la coque d’arachide, de la coque d’anacardier et de la balle de riz.
Par la mise en place de ce nouvel cadre de recherche, l’UGB réaffirme sa volonté d’œuvrer au profit de sa communauté. « Cet engagement est clairement perceptible à travers le profil des participants, des partenaires, des entreprises étatiques et privées de notre environnement qui ont pris part à la cérémonie », s’est félicité le professeur Magatte NDIAYE. « Ces entités sont prêtes à travailler avec parfaites la synergie avec l’Université pour développer la recherche et profiter de ses résultats », a-t-il ajouté.
« La balle pourra être utilisée comme combustible par les exploitants », a renseigne Joseph BASSAMA, enseignant-chercheur et répondant du projet Biostar, porteur de cette dynamique novatrice qui ambitionne de renforcer un meilleur accès aux énergies renouvelables aux entreprises agroalimentaires.
C'est un programme initié grâce à l’appui du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement et l’Agence française de développement (AFD). Les recherches qui y sont menées sont essentiellement axées sur la récupération de la coque d’arachide, de la coque d’anacardier et de la balle de riz.
Par la mise en place de ce nouvel cadre de recherche, l’UGB réaffirme sa volonté d’œuvrer au profit de sa communauté. « Cet engagement est clairement perceptible à travers le profil des participants, des partenaires, des entreprises étatiques et privées de notre environnement qui ont pris part à la cérémonie », s’est félicité le professeur Magatte NDIAYE. « Ces entités sont prêtes à travailler avec parfaites la synergie avec l’Université pour développer la recherche et profiter de ses résultats », a-t-il ajouté.