La Coordination des Étudiants de Saint-Louis (CESL), entité représentative des étudiants de l’Université Gaston Berger (UGB), a vivement réagi à la décision des autorités universitaires de fermer l’Université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ). Dans un communiqué officiel, la CESL dénonce cette mesure qu’elle qualifie d’« irréfléchie » et d’« irresponsable ».
Le communiqué met en évidence les conséquences néfastes de cette décision dans un contexte marqué par une désarticulation prolongée des années universitaires. Les autorités sont accusées d’adopter un comportement jugé « inapproprié face aux revendications légitimes des étudiants ». La CESL souligne que ces mesures, « loin de résoudre les problèmes, risquent de compromettre les efforts visant à renforcer l’enseignement supérieur, pilier de l’espoir et du développement national ».
La CESL exprime également son inquiétude face à « une tendance croissante des autorités à réprimer les voix dissidentes dans le milieu universitaire », une situation qui constitue, selon elle, « une atteinte au droit inaliénable des étudiants sénégalais à une éducation de qualité ». Elle juge cette situation intolérable et incompatible avec les idéaux d’un Sénégal démocratique et inclusif.
Face à cette crise, la CESL « appelle les autorités à faire preuve de responsabilité et à revenir sur leur décision ». Le communiqué insiste sur l’importance d’un dialogue constructif afin d’éviter des mesures drastiques susceptibles de déstabiliser davantage le système éducatif.
Seneweb
Le communiqué met en évidence les conséquences néfastes de cette décision dans un contexte marqué par une désarticulation prolongée des années universitaires. Les autorités sont accusées d’adopter un comportement jugé « inapproprié face aux revendications légitimes des étudiants ». La CESL souligne que ces mesures, « loin de résoudre les problèmes, risquent de compromettre les efforts visant à renforcer l’enseignement supérieur, pilier de l’espoir et du développement national ».
La CESL exprime également son inquiétude face à « une tendance croissante des autorités à réprimer les voix dissidentes dans le milieu universitaire », une situation qui constitue, selon elle, « une atteinte au droit inaliénable des étudiants sénégalais à une éducation de qualité ». Elle juge cette situation intolérable et incompatible avec les idéaux d’un Sénégal démocratique et inclusif.
Face à cette crise, la CESL « appelle les autorités à faire preuve de responsabilité et à revenir sur leur décision ». Le communiqué insiste sur l’importance d’un dialogue constructif afin d’éviter des mesures drastiques susceptibles de déstabiliser davantage le système éducatif.
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