Les producteurs de tomates sont confrontés à un réel problème de transport. Les rares qui s’aventurent sur ce terrain sont confrontés à un risque énorme de panne avec une route en pleine réfection. Ils l’ont dit au ministre Khadim Gueye qui était en tournée dans la zone la semaine dernière.
Une bonne partie de la production de tomates de contre saison risque d’être perdue si les problèmes d’évacuation ne sont pas réglés, ont déclaré vendredi à Podor, des acteurs de la filière, au cours d’une visite du périmètre de Niandane.
’’90 pour cent de la production doivent être cédées à la SOCAS avec qui un contrat est signé mais nous enregistrons un faible taux d’évacuation des tomates qui risquent de pourrir entre nos mains’’, a dit le président de la filière Abdoulaye Ndiaye, le trésorier du Comité tomates.
Les évacuations ont débuté depuis le 6 février mais un problème d’accès se pose pour les producteurs qui soulignent que les tracteurs affectés à cette tâche sont passés entre 2003 et maintenant de 38 à 3.
Il se pose également le problème du parc automobile et plus sensiblement de l’axe routier en pleine réfection. Les camions ont du mal à y circuler et souvent les tomates en partance pour Sawagne connaissent des ennuis techniques qui ralentissent leur travail.
Les producteurs ont plaidé pour la mise en place d’une troisième usine de tomates dans le département de Podor pour faciliter l’évacuation de la production qui malgré les efforts de la SOCAS.
Un appel a été lancé à l’endroit du gouvernement pour trouver un partenaire prêt à s’investir dans ce domaine.
Les producteurs ont aussi déploré la cherté des factures d’électricité qui grèvent leur budget et demandé une baisse de la TVA pour atténuer cette situation.
Une bonne partie de la production de tomates de contre saison risque d’être perdue si les problèmes d’évacuation ne sont pas réglés, ont déclaré vendredi à Podor, des acteurs de la filière, au cours d’une visite du périmètre de Niandane.
’’90 pour cent de la production doivent être cédées à la SOCAS avec qui un contrat est signé mais nous enregistrons un faible taux d’évacuation des tomates qui risquent de pourrir entre nos mains’’, a dit le président de la filière Abdoulaye Ndiaye, le trésorier du Comité tomates.
Les évacuations ont débuté depuis le 6 février mais un problème d’accès se pose pour les producteurs qui soulignent que les tracteurs affectés à cette tâche sont passés entre 2003 et maintenant de 38 à 3.
Il se pose également le problème du parc automobile et plus sensiblement de l’axe routier en pleine réfection. Les camions ont du mal à y circuler et souvent les tomates en partance pour Sawagne connaissent des ennuis techniques qui ralentissent leur travail.
Les producteurs ont plaidé pour la mise en place d’une troisième usine de tomates dans le département de Podor pour faciliter l’évacuation de la production qui malgré les efforts de la SOCAS.
Un appel a été lancé à l’endroit du gouvernement pour trouver un partenaire prêt à s’investir dans ce domaine.
Les producteurs ont aussi déploré la cherté des factures d’électricité qui grèvent leur budget et demandé une baisse de la TVA pour atténuer cette situation.