Fatou DIOP SALL, la coordonnatrice du Groupe d’Études et de Recherche Genre et Sociétés (GESTES) a soutenu, samedi, sa thèse de doctorat d’État sur le thème : « Politiques publiques de santé et dynamiques de la reproduction : des inégalités sociales aux inégalités de santé. Cas des communautés rurales de Kelle Gueye, Léona, Potou et Nguène Sarr (région de Louga) ».
La sociologue a rappelé l’importance de l’adoption d’une bonne politique de santé de la reproduction pour faire face aux problèmes liés à la maternité dans les différentes communautés rurales de la région de Louga où cette étude a été faite.
Pour elle, ces mêmes difficultés constituent le lot quotidien de toutes les femmes du monde rural, en gestation et qui sont en marge des programmes de planification familiale. Ce qui mérite, suivant ses propos, un diagnostic très profond pour une meilleure prise en charge à travers les institutions compétentes.
Ce souci de préserver le bien-être de la Femme en lui assurant une bonne couverture médico-sociale, constitue le socle sur lequel repose la problématique amorcée par Madame Fatou DIOP SALL. Choix qui n’est guère fortuit, car rappelons-le, Madame revêt aussi la casquette de la coordonnatrice du GESTES qui s’intéresse sur toutes les questions relatives au comportement de la femme dans la société.
Le professeur Gora MBODJ qui avait encadré Mme Sall, a salué le dynamisme et le dévouement de cette militante et note que toutes les recommandations méthodologiques indiquées à cette dernière ont été bien prise en compte.
« Cette thèse est un annuaire. Tous les moments de la recherche en science sociale y ont été retracés » s’est-il félicité avant de souhaiter une belle carrière universitaire à son ancienne assistante.
Après un échange fort intéressant entre elle et le Jury, composé d’éminents professeurs et de chercheurs, Madame SALL s’est retrouvée avec la Mention Très Honorable avec les félicitations du Jury.
Wely Mbow
La sociologue a rappelé l’importance de l’adoption d’une bonne politique de santé de la reproduction pour faire face aux problèmes liés à la maternité dans les différentes communautés rurales de la région de Louga où cette étude a été faite.
Pour elle, ces mêmes difficultés constituent le lot quotidien de toutes les femmes du monde rural, en gestation et qui sont en marge des programmes de planification familiale. Ce qui mérite, suivant ses propos, un diagnostic très profond pour une meilleure prise en charge à travers les institutions compétentes.
Ce souci de préserver le bien-être de la Femme en lui assurant une bonne couverture médico-sociale, constitue le socle sur lequel repose la problématique amorcée par Madame Fatou DIOP SALL. Choix qui n’est guère fortuit, car rappelons-le, Madame revêt aussi la casquette de la coordonnatrice du GESTES qui s’intéresse sur toutes les questions relatives au comportement de la femme dans la société.
Le professeur Gora MBODJ qui avait encadré Mme Sall, a salué le dynamisme et le dévouement de cette militante et note que toutes les recommandations méthodologiques indiquées à cette dernière ont été bien prise en compte.
« Cette thèse est un annuaire. Tous les moments de la recherche en science sociale y ont été retracés » s’est-il félicité avant de souhaiter une belle carrière universitaire à son ancienne assistante.
Après un échange fort intéressant entre elle et le Jury, composé d’éminents professeurs et de chercheurs, Madame SALL s’est retrouvée avec la Mention Très Honorable avec les félicitations du Jury.
Wely Mbow