Le 20 mars 1853, le capitaine du génie Léon Faidherbe propose un plan du village de Dakar, complété en 1858 par le directeur des Ponts et Chaussées Gindre. Le 18 juin 1862, le lieutenant-colonel du génie Émile Pinet-Laprade présente "un plan des alignements auxquels on propose de soumettre les constructions élevées sur la voie publique à Dakar, avec projet de débarcadère et de corps de garde.
" Repris dans d’autres villes d’Afrique sous le nom de "plan Pinet-Laprade", ce plan est directement inspiré par celui de Mirepoix, sa ville natale, avec place centrale, rues perpendiculaires et bâtiments regroupés par usage et destination. Il doit remplacer "un véritable labyrinthe de rues et d’impasses, de tours et détours.". L’aménagement se fait de 1862 à 1866, Émile Pinet-Laprade devenant gouverneur du Sénégal en 1865. Il avait aussi le projet d’une voie ferrée reliant Saint-Louis du Sénégal et Dakar.
Dans une lettre au procureur impérial, Émile Pinet-Laprade écrit que "L’esclavage, ce trafic honteux, que l’humanité réprouve et que nos lois punissent, doit cesser." Mettant sa vie à la hauteur de ses convictions, il prend pour compagne une jeune femme Peul, Marie Assar, esclave devenue libre par la loi Schoelcher (sur décret du 27 avril 1848).
" Repris dans d’autres villes d’Afrique sous le nom de "plan Pinet-Laprade", ce plan est directement inspiré par celui de Mirepoix, sa ville natale, avec place centrale, rues perpendiculaires et bâtiments regroupés par usage et destination. Il doit remplacer "un véritable labyrinthe de rues et d’impasses, de tours et détours.". L’aménagement se fait de 1862 à 1866, Émile Pinet-Laprade devenant gouverneur du Sénégal en 1865. Il avait aussi le projet d’une voie ferrée reliant Saint-Louis du Sénégal et Dakar.
Dans une lettre au procureur impérial, Émile Pinet-Laprade écrit que "L’esclavage, ce trafic honteux, que l’humanité réprouve et que nos lois punissent, doit cesser." Mettant sa vie à la hauteur de ses convictions, il prend pour compagne une jeune femme Peul, Marie Assar, esclave devenue libre par la loi Schoelcher (sur décret du 27 avril 1848).