Le marché sénégalais a besoin d’environ 720.000 moutons pour son approvisionnement en prévision de la plus grande fête musulmane de Tabaski ("Aïd El Kebir") prévue en début octobre prochain, a annoncé la ministre de l’Elevage et des Productions animales, Aminata Mbengue Ndiaye.
‘’Nous avons besoin de 720.000 moutons au niveau du Sénégal. En général, près de 300.000 moutons nous viennent du Mali et de la Mauritanie’’, a-t-elle dit, vendredi, à la sortie du conseil interministériel consacré à la préparation de la Tabaski 2014.
Le Premier ministre Aminata Touré a présidé cette réunion. Les représentants des éleveurs, des consommateurs, des établissements financiers et de différents démembrements de l'Etat ont assisté à la rencontre.
Le gouvernement sénégalais est en train de prendre les dispositions en commençant par compter sur le cheptel national pour satisfaire la demande locale, a indiqué la ministre de l'Elevage.
‘’Nous allons nous rendre dans les différentes régions de production pour voir les disponibilités que nous avons. Dans deux mois, nous allons savoir le gap à chercher en Mauritanie et au Mali’’, a-t-elle signalé.
Aminata Mbengue Ndiaye a signalé que les éleveurs avaient donné des assurances sur le ravitaillement correct du marché national en mouton.
Toutefois, Mme Ndiaye a déploré l’insécurité dans certains lieux de vente du mouton qui a fait fuir des vendeurs mauritaniens et maliens, mais elle a annoncé des mesures pour améliorer cette situation.
‘’La question structurante de la production de moutons, c’est à cela que nous allons nous adonner cette année. D’ici cinq ans, nous allons tout faire pour que nous puissions refermer le gap en faisant des productions au niveau des zones d’élevage, surtout dans la Zone sylvopastorale, dans les régions de Saint-Louis et de Matam’’, a-t-elle expliqué.
Une grande tension sur le mouton avait été constatée particulièrement à Dakar, mais également au niveau d'autres zones urbaines du Sénégal lors de la Tabaski 2013.
‘’Nous sommes en train, aujourd'hui, de préparer la Tabaski de 2014. Nous voulons prendre l’ensemble des mesures qui doivent nous permettre un approvisionnement adéquat du marché sénégalais, sans qu’il y ait de la tension’’, a assuré la ministre de l’Elevage.
Elle a tenu à faire ce rappel : ‘’Cette année, nous avons tenu la réunion deux mois à l’avance pour prendre les meilleures mesures pour accompagner l’opération Tabaski.’’
APS
‘’Nous avons besoin de 720.000 moutons au niveau du Sénégal. En général, près de 300.000 moutons nous viennent du Mali et de la Mauritanie’’, a-t-elle dit, vendredi, à la sortie du conseil interministériel consacré à la préparation de la Tabaski 2014.
Le Premier ministre Aminata Touré a présidé cette réunion. Les représentants des éleveurs, des consommateurs, des établissements financiers et de différents démembrements de l'Etat ont assisté à la rencontre.
Le gouvernement sénégalais est en train de prendre les dispositions en commençant par compter sur le cheptel national pour satisfaire la demande locale, a indiqué la ministre de l'Elevage.
‘’Nous allons nous rendre dans les différentes régions de production pour voir les disponibilités que nous avons. Dans deux mois, nous allons savoir le gap à chercher en Mauritanie et au Mali’’, a-t-elle signalé.
Aminata Mbengue Ndiaye a signalé que les éleveurs avaient donné des assurances sur le ravitaillement correct du marché national en mouton.
Toutefois, Mme Ndiaye a déploré l’insécurité dans certains lieux de vente du mouton qui a fait fuir des vendeurs mauritaniens et maliens, mais elle a annoncé des mesures pour améliorer cette situation.
‘’La question structurante de la production de moutons, c’est à cela que nous allons nous adonner cette année. D’ici cinq ans, nous allons tout faire pour que nous puissions refermer le gap en faisant des productions au niveau des zones d’élevage, surtout dans la Zone sylvopastorale, dans les régions de Saint-Louis et de Matam’’, a-t-elle expliqué.
Une grande tension sur le mouton avait été constatée particulièrement à Dakar, mais également au niveau d'autres zones urbaines du Sénégal lors de la Tabaski 2013.
‘’Nous sommes en train, aujourd'hui, de préparer la Tabaski de 2014. Nous voulons prendre l’ensemble des mesures qui doivent nous permettre un approvisionnement adéquat du marché sénégalais, sans qu’il y ait de la tension’’, a assuré la ministre de l’Elevage.
Elle a tenu à faire ce rappel : ‘’Cette année, nous avons tenu la réunion deux mois à l’avance pour prendre les meilleures mesures pour accompagner l’opération Tabaski.’’
APS