Ce n’est pas le grand rush au foirail de DAROU, à trois jours de la TabasKi. Malgré la fine baisse notée sur le prix des bêtes par rapport à l’année dernière, les consommateurs se plaignent toujours.
À Saint-Louis, une frange importante de la population achète le mouton la veille de l’Eid El Fitr. Un comportement « dangereux » de l’avis d’un responsable du secteur qui craint une pénurie au vu du manque d’affluence des bergers mauritaniens.
« Les moutons sont convoyés sur demande. Si les populations se servent maintenant d’autres convois seront acheminés à partir de la Mauritanie. Les autres pourront avoir du mouton sans problème et à un prix acceptable », indique un responsable du secteur de l’élevage.
« Les prix sont assez élevés », témoigne ce client trouvé sur place. « Il faut rappeler qu’au Sénégal, l’avance de la Tabaksi, c’est 50 mille francs CFA. Si les moutons dépassent cette somme, cela devient difficile », a-t-il dit.
À Saint-Louis, une frange importante de la population achète le mouton la veille de l’Eid El Fitr. Un comportement « dangereux » de l’avis d’un responsable du secteur qui craint une pénurie au vu du manque d’affluence des bergers mauritaniens.
« Les moutons sont convoyés sur demande. Si les populations se servent maintenant d’autres convois seront acheminés à partir de la Mauritanie. Les autres pourront avoir du mouton sans problème et à un prix acceptable », indique un responsable du secteur de l’élevage.
« Les prix sont assez élevés », témoigne ce client trouvé sur place. « Il faut rappeler qu’au Sénégal, l’avance de la Tabaksi, c’est 50 mille francs CFA. Si les moutons dépassent cette somme, cela devient difficile », a-t-il dit.
NDARINFO.COM