La directrice de l’autorité sénégalaise de radioprotection et de sureté nucléaire, Mme Ndèye Arame Boye Faye, a témoigné de l’intérêt que les autorités sénégalaises accordent à la signature de ce document.
«Ce protocole répond à un besoin, pour les deux structures, de développer une coopération sous-régionale équitable pour contribuer au renforcement du contrôle des mouvements transfrontaliers, échanger des informations pertinentes et utiles, harmoniser la réglementation de la sureté et de la sécurité nucléaire et collaborer dans le domaine de la formation de nos personnels et des agents de première ligne (la police, la gendarmerie les douaniers », a-t-elle dit. L’autorité de radioprotection et de sureté nucléaire du Sénégal et celle de la Mauritanie ont pour mission principale, a-telle poursuivi, d’assurer, au nom de l’Etat, le contrôle de la radioprotection, de la sureté et de la sécurité nucléaire. Mais également de veiller au respect et à la réglementation.
Il s’agit, dans l’exercice de cette fonction, de contrôler et de réglementer la détention, l’utilisation, le transport ou de toute autre activité impliquant des matières radioactives ou nucléaires afin de protéger les travailleurs, les patients, le public et l’environnement contre les risques liées aux activités radiologiques nucléaires, a-t-elle défendu.
Pour son collègue mauritanien, Salah Ould Moulaye Ahmed, cet accord qui a « un caractère éminemment technique », s’inscrit dans le cadre global de la coopération fructueuse qui lie nos deux pays frères et voisins. « Une coopération qui couvre un ensemble de domaines d’un très grand intérêt commun », a soutenu Salah Ould Moulaye Ahmed. Il s’est aussi dit convaincu, par-delà les difficultés, que les deux structures de nos deux pays, en conjuguant leurs efforts, peuvent parer à toute éventualité.
Quant au ministre, Secrétaire général du gouvernement, Abdou Latif Coulibaly, il a estimé que la cérémonie marque, de façon concrète et utile, la volonté de nos deux Etats, de mettre en synergie les moyens, les connaissances, le savoir et le savoir-faire des deux structures représentées pour assurer «une véritable protection de nos concitoyens dans nos deux frontières et à l’intérieur de nos pays. « Votre mission comporte un important volet d’informations, d’éducation et de communication », a-t-il lancé aux deux autorités. M. Coulibaly a, par ailleurs, assuré qu’aucun effort ne sera ménagé par nos deux gouvernements pour accompagner les deux structures dans leur mission « extrêmement difficile».
LESOLEIL
«Ce protocole répond à un besoin, pour les deux structures, de développer une coopération sous-régionale équitable pour contribuer au renforcement du contrôle des mouvements transfrontaliers, échanger des informations pertinentes et utiles, harmoniser la réglementation de la sureté et de la sécurité nucléaire et collaborer dans le domaine de la formation de nos personnels et des agents de première ligne (la police, la gendarmerie les douaniers », a-t-elle dit. L’autorité de radioprotection et de sureté nucléaire du Sénégal et celle de la Mauritanie ont pour mission principale, a-telle poursuivi, d’assurer, au nom de l’Etat, le contrôle de la radioprotection, de la sureté et de la sécurité nucléaire. Mais également de veiller au respect et à la réglementation.
Il s’agit, dans l’exercice de cette fonction, de contrôler et de réglementer la détention, l’utilisation, le transport ou de toute autre activité impliquant des matières radioactives ou nucléaires afin de protéger les travailleurs, les patients, le public et l’environnement contre les risques liées aux activités radiologiques nucléaires, a-t-elle défendu.
Pour son collègue mauritanien, Salah Ould Moulaye Ahmed, cet accord qui a « un caractère éminemment technique », s’inscrit dans le cadre global de la coopération fructueuse qui lie nos deux pays frères et voisins. « Une coopération qui couvre un ensemble de domaines d’un très grand intérêt commun », a soutenu Salah Ould Moulaye Ahmed. Il s’est aussi dit convaincu, par-delà les difficultés, que les deux structures de nos deux pays, en conjuguant leurs efforts, peuvent parer à toute éventualité.
Quant au ministre, Secrétaire général du gouvernement, Abdou Latif Coulibaly, il a estimé que la cérémonie marque, de façon concrète et utile, la volonté de nos deux Etats, de mettre en synergie les moyens, les connaissances, le savoir et le savoir-faire des deux structures représentées pour assurer «une véritable protection de nos concitoyens dans nos deux frontières et à l’intérieur de nos pays. « Votre mission comporte un important volet d’informations, d’éducation et de communication », a-t-il lancé aux deux autorités. M. Coulibaly a, par ailleurs, assuré qu’aucun effort ne sera ménagé par nos deux gouvernements pour accompagner les deux structures dans leur mission « extrêmement difficile».
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