« Les finances publiques n’ont pas été assainies durant le septennat du Président Macky Sall. Il y a beaucoup d’exonérations fiscales et c’était un des problèmes du Fonds monétaire international (Fmi). Par exemple, les zones économiques de Diamniadio, de Diass, le Fmi a carrément dit au gouvernement que maintenant pour ces zones, pas d’exonérations fiscales ou que les exonérations se fassent au cas par cas », a déclaré le Consultant bancaire Mouhamed Dia.
L’invité de l’émission « Objection » de ce dimanche 22 septembre, de poursuivre : « Nous avons besoin d’argent, il faut que les recettes viennent. Cette année-ci, en 2019, ce dernier trimestre, le déficit commercial s’est creusé encore de 150 ou 170 milliards. Donc, cela veut dire qu’il y a eu plus d’importations et moins d’exportations », a-t-il révélé.
À en croire Mouhamed Dia, le Sénégal est à court d’argent. La croissance est en train de ralentir aussi. « Il n’y a pas d’argent en ce moment. Rien n’avance dans ce pays, tout est à l’arrêt. C’est le Groupe consultatif de Paris qui leur avait promis de l’argent, alors qu’il y a d’autres critères qui peuvent le changer ».
Pressafrik
L’invité de l’émission « Objection » de ce dimanche 22 septembre, de poursuivre : « Nous avons besoin d’argent, il faut que les recettes viennent. Cette année-ci, en 2019, ce dernier trimestre, le déficit commercial s’est creusé encore de 150 ou 170 milliards. Donc, cela veut dire qu’il y a eu plus d’importations et moins d’exportations », a-t-il révélé.
À en croire Mouhamed Dia, le Sénégal est à court d’argent. La croissance est en train de ralentir aussi. « Il n’y a pas d’argent en ce moment. Rien n’avance dans ce pays, tout est à l’arrêt. C’est le Groupe consultatif de Paris qui leur avait promis de l’argent, alors qu’il y a d’autres critères qui peuvent le changer ».
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