Selon le droit de l’hommiste, la violation de ces droits par les préfets constituent les principales causes de troubles à l’ordre public.
“L’Etat du Sénégal doit respecter les droits constitutionnels des citoyens de se rassembler et de manifester de façon pacifique, comme le lui demandent l’Onu et la Cedeao“, a-t-il écrit par tweet.
Dans l’affaire du viol présumé, l’opposant politique, Ousmane Sonko est arrêté pour « troubles à l’ordre public » alors qu’il se rendait au palais de justice de Dakar pour déférer à la convocation du juge.
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