Après la sortie au vitriol d'un groupe faisant état d'une distribution inéquitable des logements définitifs aux ayant-droits, le responsable local du Projet de relèvement d'urgence et de résilience à Saint-Louis (Serrp) et les membres du comité de gestion du site apportent un démenti.
"Les porteurs de ses accusations ne sont pas de sinistrés. Ils cherchent à saper la bonne démarche engagée depuis le début pour des intérêts personnels ", a regretté Baye Boly Fall, le président du comité de pilotage qui regroupe des populations de la Langue de Barbarie déplacées sur ce site.
" La vérité, c'est qu'ils avaient loué des bâches auprès des vrais sinistrés. Maintenant, que le déménagement vers les logements définitifs a démarré, ils cherchent à faire du forcing pour obtenir des places dans ces nouvelles habitations ", a-t-il ajouté.
Mandaw Gueye, le point focal du Serrp, renseigne qu'une "échéance leur a été donnée pour qu'ils vident les lieux. Ce, suite à une requête que ces derniers avaient émise. "Ils occupent une zone où d'autres logements doivent être construits au profit des occupants de la bande des 20 mètres sur la langue de barbarie", a-t-il expliqué.
Poursuivant, il indique que " la remise des logements définitifs s'est faite dans la transparence et la concertation entre parties prenantes, sous la conduite des autorités administratives, des élus locaux, du chef de village de Diougop et des représentants des communautés de pêcheurs".
" Tous les impactés du projet ont été pris en charge", a affirmé Mandaw Gueye.
"Les porteurs de ses accusations ne sont pas de sinistrés. Ils cherchent à saper la bonne démarche engagée depuis le début pour des intérêts personnels ", a regretté Baye Boly Fall, le président du comité de pilotage qui regroupe des populations de la Langue de Barbarie déplacées sur ce site.
" La vérité, c'est qu'ils avaient loué des bâches auprès des vrais sinistrés. Maintenant, que le déménagement vers les logements définitifs a démarré, ils cherchent à faire du forcing pour obtenir des places dans ces nouvelles habitations ", a-t-il ajouté.
Mandaw Gueye, le point focal du Serrp, renseigne qu'une "échéance leur a été donnée pour qu'ils vident les lieux. Ce, suite à une requête que ces derniers avaient émise. "Ils occupent une zone où d'autres logements doivent être construits au profit des occupants de la bande des 20 mètres sur la langue de barbarie", a-t-il expliqué.
Poursuivant, il indique que " la remise des logements définitifs s'est faite dans la transparence et la concertation entre parties prenantes, sous la conduite des autorités administratives, des élus locaux, du chef de village de Diougop et des représentants des communautés de pêcheurs".
" Tous les impactés du projet ont été pris en charge", a affirmé Mandaw Gueye.