‘’En dehors du cadre du PIC, le Luxembourg soutient financièrement 9 organisations non gouvernementales (ONG) luxembourgeoises actives au Sénégal, des programmes multilatéraux régionaux et des jeunes professionnels dans certaines agences des Nations unies’’, a-t-il indiqué.
M. Schneider intervenait à l’occasion de l’ouverture de la 10ème session de la commission de partenariat Sénégal-Luxembourg.
Selon lui, le PIC III traduit à la fois ''une dynamique de consolidation du PIC II et une volonté de perfectionnement''. ‘’La véritable nouveauté est le choix de l’exécution nationale pour mettre en œuvre les programmes du PIC III’’, a-t-il fait savoir.
M. Schneider a assuré que les dernières recommandations sont effectives et les premiers déboursements sont attendus sous peu.
''Ce processus devrait se renforcer au deuxième semestre 2014. ‘’Nous félicitons tous nos partenaires pour avoir travaillé sans relâche à peaufiner les mécanismes permettant la mise en œuvre de cette modalité novatrice’’, a dit le ministre luxembourgeoise.
Cette modalité, d’après lui, représente une innovation tant pour la coopération luxembourgeoise que pour le Sénégal.
‘’Elle traduit la confiance réciproque qui caractérise notre partenariat de longue haleine qui ne fléchit pas devant de nouveaux défis, toujours dans l’optique d progresser vers la maitrise du programme de développement à travers le cadre national’’, a-t-il expliqué.
A la zone d’intervention traditionnelle de la coopération luxembourgeoise, avec les régions de Matam, Saint Louis, Thiès et Louga, s’ajoute une nouvelle partie constituée des régions de Fatick, Diourbel, Kaffrine et Kaolack, suite à une coopération croisée déléguée avec la Belgique.
Concernant le volet multilatéral du programme, a souligné le ministre luxembourgeois, les programmes signés avec différentes agences des Nations unies sont des compléments indispensables aux composantes bilatérales et nécessitent une coordination accrue entre les différents intervenants.
De plus, Romain Schneider s’est félicité, en matière de renforcement des capacités dans le cadre de la mise en œuvre du PIC III, de l’analyse faite par les partenaires et Luxdev.
‘’Cette démarche de recherche de synergies et de complémentarités des différents partenaires impliqués dans l’exécution du programme s’inscrit dans le principe de l’harmonisation et de l’appropriation de la coopération au développement'', a-t-il dit.
APS
M. Schneider intervenait à l’occasion de l’ouverture de la 10ème session de la commission de partenariat Sénégal-Luxembourg.
Selon lui, le PIC III traduit à la fois ''une dynamique de consolidation du PIC II et une volonté de perfectionnement''. ‘’La véritable nouveauté est le choix de l’exécution nationale pour mettre en œuvre les programmes du PIC III’’, a-t-il fait savoir.
M. Schneider a assuré que les dernières recommandations sont effectives et les premiers déboursements sont attendus sous peu.
''Ce processus devrait se renforcer au deuxième semestre 2014. ‘’Nous félicitons tous nos partenaires pour avoir travaillé sans relâche à peaufiner les mécanismes permettant la mise en œuvre de cette modalité novatrice’’, a dit le ministre luxembourgeoise.
Cette modalité, d’après lui, représente une innovation tant pour la coopération luxembourgeoise que pour le Sénégal.
‘’Elle traduit la confiance réciproque qui caractérise notre partenariat de longue haleine qui ne fléchit pas devant de nouveaux défis, toujours dans l’optique d progresser vers la maitrise du programme de développement à travers le cadre national’’, a-t-il expliqué.
A la zone d’intervention traditionnelle de la coopération luxembourgeoise, avec les régions de Matam, Saint Louis, Thiès et Louga, s’ajoute une nouvelle partie constituée des régions de Fatick, Diourbel, Kaffrine et Kaolack, suite à une coopération croisée déléguée avec la Belgique.
Concernant le volet multilatéral du programme, a souligné le ministre luxembourgeois, les programmes signés avec différentes agences des Nations unies sont des compléments indispensables aux composantes bilatérales et nécessitent une coordination accrue entre les différents intervenants.
De plus, Romain Schneider s’est félicité, en matière de renforcement des capacités dans le cadre de la mise en œuvre du PIC III, de l’analyse faite par les partenaires et Luxdev.
‘’Cette démarche de recherche de synergies et de complémentarités des différents partenaires impliqués dans l’exécution du programme s’inscrit dans le principe de l’harmonisation et de l’appropriation de la coopération au développement'', a-t-il dit.
APS