Décidément ! La zone maritime Sénégalo-mauritanienne risque de battre tous les records en matière de découverte petro-gazière. Encore une nouvelle découverte de gaz aux larges des côtes de Sangomar (Sénégal), a été annoncée le lundi 11 avril à Houston, par le géant pétrolier américain, Conoco Philips. L’information a été relayée par la radio future média (RFM).
La même source de révéler que la compagnie pétrolière américaine ne s’attendait pas à une telle découverte lorsqu’elle faisait la prospection. « Le miracle a surgi à travers des réserves de sable porteuses de gaz en bonne qualité avec une épaisseur de 26 pieds », rajoute la source.
Les présidents mauritaniens et Sénégalais, dans la dynamique d’exploitation optimale, avaient donné des instructions aux compagnies pétrolières de continuer à explorer les champs. Ils avaient dans ce sens, indiqué qu’une répartition équitable des charges (50-50) est envisageable.
De l’avis de certains spécialistes, cette zone est parti pour devenir la plaque tournante du secteur pétro-gazier en Afrique de l’ouest, voire même africaine.
Si les tendances se poursuivent, la Mauritanie et le Sénégal, à l’instar des Emirats Arabes Unis, vont devenir les futurs Emirats Unis d’Afrique (EAU) et entreraient dans le cercle restreint des pays exportateurs de pétrole et du gaz.
Rappelons qu’au mois de janvier dernier, un important gisement de gaz estimé à 450 milliards de m3 avait été découvert vers Saint-Louis du Sénégal (265 km au Nord de Dakar). Selon certains techniciens, les gisements de gaz naturel dans la zone maritime Sénégalo-mauritanienne sont estimés à plus de 15 milliards de pieds cubes.
Par Ibrahima Dia
Fnancialafrik
La même source de révéler que la compagnie pétrolière américaine ne s’attendait pas à une telle découverte lorsqu’elle faisait la prospection. « Le miracle a surgi à travers des réserves de sable porteuses de gaz en bonne qualité avec une épaisseur de 26 pieds », rajoute la source.
Les présidents mauritaniens et Sénégalais, dans la dynamique d’exploitation optimale, avaient donné des instructions aux compagnies pétrolières de continuer à explorer les champs. Ils avaient dans ce sens, indiqué qu’une répartition équitable des charges (50-50) est envisageable.
De l’avis de certains spécialistes, cette zone est parti pour devenir la plaque tournante du secteur pétro-gazier en Afrique de l’ouest, voire même africaine.
Si les tendances se poursuivent, la Mauritanie et le Sénégal, à l’instar des Emirats Arabes Unis, vont devenir les futurs Emirats Unis d’Afrique (EAU) et entreraient dans le cercle restreint des pays exportateurs de pétrole et du gaz.
Rappelons qu’au mois de janvier dernier, un important gisement de gaz estimé à 450 milliards de m3 avait été découvert vers Saint-Louis du Sénégal (265 km au Nord de Dakar). Selon certains techniciens, les gisements de gaz naturel dans la zone maritime Sénégalo-mauritanienne sont estimés à plus de 15 milliards de pieds cubes.
Par Ibrahima Dia
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