Pour la Dpee, cette contraction résulte de la baisse de la valeur des importations de produits alimentaires (-23,4 milliards ou - 39,2%), imputable, essentiellement, au riz (-25,3 milliards ou -67%). Les importations de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » et celles de « machines, appareils et moteurs » se sont également inscrites en baisse respectivement de 5,2 milliards et de 2,8 milliards, en variation mensuelle. Cette situation a été, toutefois, atténuée par la hausse des achats à l’étranger de produits pétroliers (+26,9 milliards) et de produits pharmaceutiques (+2,2 milliards) note la Dpee. En glissement annuel, les importations de biens ont diminué de 13,6%, sous l’effet, principalement, des produits pétroliers (43,2 milliards) et de produits alimentaires (-4,8 milliards).
Cette baisse a été amoindrie par le recul des importations de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » (+3,5 milliards) et de produits pharmaceutiques (+2,5 milliards). Sur les quatre premiers mois de 2015, les importations de biens sont évaluées à 940,3 milliards contre 889,8 milliards un an auparavant, soit une hausse de 5,7% (+50,5 milliards), imputable essentiellement aux achats de « machines, appareils et moteurs » (+25,1 milliards), de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » (+13,1 milliards) et de produits alimentaires (+10 milliards).
En revanche, explique la dpee , un repli a été observé dans les importations de produits pétroliers (-43,2 milliards), sous l’effet, notamment, des achats à l’étranger d’huiles brules de pétrole qui ont connu une baisse de 31,2 milliards sur la période.
Oumar Nourou www.lejecos.com
Cette baisse a été amoindrie par le recul des importations de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » (+3,5 milliards) et de produits pharmaceutiques (+2,5 milliards). Sur les quatre premiers mois de 2015, les importations de biens sont évaluées à 940,3 milliards contre 889,8 milliards un an auparavant, soit une hausse de 5,7% (+50,5 milliards), imputable essentiellement aux achats de « machines, appareils et moteurs » (+25,1 milliards), de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » (+13,1 milliards) et de produits alimentaires (+10 milliards).
En revanche, explique la dpee , un repli a été observé dans les importations de produits pétroliers (-43,2 milliards), sous l’effet, notamment, des achats à l’étranger d’huiles brules de pétrole qui ont connu une baisse de 31,2 milliards sur la période.
Oumar Nourou www.lejecos.com