
Trop de biens ne nuisent pas. Avec l’équipe nationale du Sénégal, on a l’impression que cet adage ne se justifie pas. Sinon il est difficile de comprendre avec tout son potentiel cette équipe vivre des moments d’incertitude quant à son avenir dans les éliminatoires de la Can qui passe par une large victoire devant les ivoiriens actuellement classés première nation africaine par la Fifa. La faute à l’incapacité des techniciens à concocter une bonne mayonnaise pour dominer nos adversaires.
Se qualifier devant la Cote-d-ivoire n’est pas garanti malgré la qualité de l’effectif dont dispose le coach Joseph Koto qui a entre les mains des joueurs que plusieurs techniciens aimeraient diriger. Quatre parmi ces derniers figurent dans la liste des nominés du meilleur footballeur africain et ils ne sont pas les seuls pions sur qui il peut compter.
En face il faut reconnaitre qu’il y’aura six nominés pour le même trophée et autant d’autres talents en herbe ou confirmés. Ce qui va compliquer la tache du Sénégal qui a la malchance de tomber sur la Côte-D’ivoire pour devoir participer à la Can 2013.
Une meilleure gestion du match aller aurait pu augmenter nos chances de qualification car les joueurs sur le terrain ont pendant une grande période de la partie rivalisé avec leurs adversaires menés à deux reprises. Cependant il faut reconnaitre une tendance due au manque d’expérience à reculer et à défendre dans la surface de réparation exposant ainsi l’équipe qui a concédé beaucoup de fautes durant les dernières minutes.
Certains évoquent le manque d’expériences de l’équipe et d’autres de fraicheur face à la très grande débauche d’énergie durant la première mi-temps. Toutes choses dont la gestion est du ressort du staff technique qui a failli dans la gestion du match, des temps forts et des temps faibles. Un bon staff aurait du opter pour la conservation du résultat (2-1) en insufflant du sang neuf au milieu pour permettre à l’équipe de conserver davantage le ballon et à la défense de souffler. Mais tout cela n’est que conjonctures et ne constitue aucunement une garantie quant à une autre issue de cette rencontre où les ivoiriens ont aussi bénéficié d’un coup de pouce de l’arbitre et du destin avec le chamboulement des plans de Koto. Lamine Sané pressenti pour jouer en défense était victime d’une maladie et a été remplacé à la va-vite entrainant ainsi un réaménagement du dispositif initial.
Tout compte fait l’avenir du Sénégal est entre les mains des joueurs et de Koto. Sans nul doute une équipe complémentaire et équilibrée peut gagner largement devant des ivoiriens dont la cage a été violée à l’aller à deux reprises. La défense dirigée par Kolo Touré n’est pas un exemple de sérénité. Son club Manchester City ne l’a inscrit sur la liste des joueurs devant disputer la ligue des champions et il lui est loisible d’aller voir ailleurs. C’est dire qu’il n’est plus le défenseur teigneux des dernières années. Idem pour le latéral gauche Siaka Tiéné qui ne joue pas au PSG.
Se qualifier devant la Cote-d-ivoire n’est pas garanti malgré la qualité de l’effectif dont dispose le coach Joseph Koto qui a entre les mains des joueurs que plusieurs techniciens aimeraient diriger. Quatre parmi ces derniers figurent dans la liste des nominés du meilleur footballeur africain et ils ne sont pas les seuls pions sur qui il peut compter.
En face il faut reconnaitre qu’il y’aura six nominés pour le même trophée et autant d’autres talents en herbe ou confirmés. Ce qui va compliquer la tache du Sénégal qui a la malchance de tomber sur la Côte-D’ivoire pour devoir participer à la Can 2013.
Une meilleure gestion du match aller aurait pu augmenter nos chances de qualification car les joueurs sur le terrain ont pendant une grande période de la partie rivalisé avec leurs adversaires menés à deux reprises. Cependant il faut reconnaitre une tendance due au manque d’expérience à reculer et à défendre dans la surface de réparation exposant ainsi l’équipe qui a concédé beaucoup de fautes durant les dernières minutes.
Certains évoquent le manque d’expériences de l’équipe et d’autres de fraicheur face à la très grande débauche d’énergie durant la première mi-temps. Toutes choses dont la gestion est du ressort du staff technique qui a failli dans la gestion du match, des temps forts et des temps faibles. Un bon staff aurait du opter pour la conservation du résultat (2-1) en insufflant du sang neuf au milieu pour permettre à l’équipe de conserver davantage le ballon et à la défense de souffler. Mais tout cela n’est que conjonctures et ne constitue aucunement une garantie quant à une autre issue de cette rencontre où les ivoiriens ont aussi bénéficié d’un coup de pouce de l’arbitre et du destin avec le chamboulement des plans de Koto. Lamine Sané pressenti pour jouer en défense était victime d’une maladie et a été remplacé à la va-vite entrainant ainsi un réaménagement du dispositif initial.
Tout compte fait l’avenir du Sénégal est entre les mains des joueurs et de Koto. Sans nul doute une équipe complémentaire et équilibrée peut gagner largement devant des ivoiriens dont la cage a été violée à l’aller à deux reprises. La défense dirigée par Kolo Touré n’est pas un exemple de sérénité. Son club Manchester City ne l’a inscrit sur la liste des joueurs devant disputer la ligue des champions et il lui est loisible d’aller voir ailleurs. C’est dire qu’il n’est plus le défenseur teigneux des dernières années. Idem pour le latéral gauche Siaka Tiéné qui ne joue pas au PSG.