«Certaines personnes ont commencé à se rabattre sur les marigots. On ne peut empêcher les gens de boire l’eau du fleuve s’ils n’arrivent pas à en trouver ailleurs », témoigne un vieux de 67 ans. « Nous savons que l’eau des marigots constitue un danger pour nous, mais nous n’avons pas d’autre choix », se désole une dame, bassine sur la tête.
Cette panne du forage de Ndioum n’est pas sans causer des désagréments au niveau de l’hôpital communal. Ousmane Sow, agent au niveau de cette structure sanitaire, renseigne qu’il y a un seul camion qui est mis à la disposition de l’hôpital chaque matin.
Malheureusement, ce seul camion-citerne est loin de satisfaire les besoins de malades et autres agents de l’hôpital. Poursuivant, l’agent de santé précise que quand le camion arrive à l’hôpital, ce sont les quartiers environnants qui viennent avec leurs bassines pour se ravitailler en eau. Cette situation a, d’ailleurs, fini, selon Ousmane Ndaw, de créer des problèmes liés au nettoiement des différents blocs.
Pis, assure Ndaw, les accompagnants peinent même à faire le linge des malades et les agents de procéder au lavage de leurs mains. Et l’agent d’avertir que si situation persiste, il n’est pas exclu que certains malades soient évacués vers les hôpitaux de Richard-Toll ou de Saint-Louis.
En tout cas, selon bon nombre de personnes âgées, les populations n’ont jamais vécu pareille situation de leur existence. C’est pourquoi très remontés contre les autorités, elles pensent que si les agents étaient organisés, ils auraient pu leur éviter une telle situation dramatique, en pensant à anticiper sur un tel phénomène. Ce qui n’a pas été le cas.
Et aujourd’hui, c’est le médecin après la mort, renchérit une notabilité religieuse, qui souligne que les populations méritent plutôt d’avoir des solutions concrètes à leurs problèmes de manière urgente plutôt que des promesses qui ne sont jamais tenues.
Dépêchés sur les lieux, les directeurs généraux de la Sones et de la Sde n’ont pu que constater les dégâts causés par cette rupture d’eau. Néanmoins, ils ont promis de réhabiliter le forage et de construire u château d’eau neuf de 400m3. Pour l’heure, ce sont les populations locales qui continuent de trinquer tout en prenant leur mal en patience.
WalfQuotidien
Cette panne du forage de Ndioum n’est pas sans causer des désagréments au niveau de l’hôpital communal. Ousmane Sow, agent au niveau de cette structure sanitaire, renseigne qu’il y a un seul camion qui est mis à la disposition de l’hôpital chaque matin.
Malheureusement, ce seul camion-citerne est loin de satisfaire les besoins de malades et autres agents de l’hôpital. Poursuivant, l’agent de santé précise que quand le camion arrive à l’hôpital, ce sont les quartiers environnants qui viennent avec leurs bassines pour se ravitailler en eau. Cette situation a, d’ailleurs, fini, selon Ousmane Ndaw, de créer des problèmes liés au nettoiement des différents blocs.
Pis, assure Ndaw, les accompagnants peinent même à faire le linge des malades et les agents de procéder au lavage de leurs mains. Et l’agent d’avertir que si situation persiste, il n’est pas exclu que certains malades soient évacués vers les hôpitaux de Richard-Toll ou de Saint-Louis.
En tout cas, selon bon nombre de personnes âgées, les populations n’ont jamais vécu pareille situation de leur existence. C’est pourquoi très remontés contre les autorités, elles pensent que si les agents étaient organisés, ils auraient pu leur éviter une telle situation dramatique, en pensant à anticiper sur un tel phénomène. Ce qui n’a pas été le cas.
Et aujourd’hui, c’est le médecin après la mort, renchérit une notabilité religieuse, qui souligne que les populations méritent plutôt d’avoir des solutions concrètes à leurs problèmes de manière urgente plutôt que des promesses qui ne sont jamais tenues.
Dépêchés sur les lieux, les directeurs généraux de la Sones et de la Sde n’ont pu que constater les dégâts causés par cette rupture d’eau. Néanmoins, ils ont promis de réhabiliter le forage et de construire u château d’eau neuf de 400m3. Pour l’heure, ce sont les populations locales qui continuent de trinquer tout en prenant leur mal en patience.
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