Devant le ministre et ses collaborateurs, et les journalistes, elle s’est félicitée de la mise en place des ouvrages qui, entre autres, va constituer un enrochement favorable à la survie de beaucoup d’espèces de poissons mais aussi à l’ensablement des plages de Saly qui avaient été gravement endommagées.
Mme Diarra qui a fait une petite présentation des ouvrages a indiqué, alors, que les brise-lames sont longs chacun de 90 m et séparés l’une de l’autre d’une distance de 80 m. Des ouvrages qui ont coûté quelque 700 millions de francs et qui peuvent avoir une durée de vie de 20 ans. Sur le site, elle s’en réjouit d’autant que l’ouvrage a permis de sauver plusieurs mètres. Cependant, elle a précisé qu’il était prévu la construction de 9 brise-lames sur une étendue de 1,5 km. Infrastructures d’un coût de 3 milliards de F Cfa, alors que les fonds qui étaient disponibles ne se chiffraient qu’à 900 millions de nos francs. D’où le financement de ces deux brise-lames.
Le doigt pointé vers un bâtiment construit à un jet de pierre de la plage, elle a précisé que la structure subissait la furie des vagues. Ce qui n’est plus le cas grâce aux réalisations qui ont fait que l’énergie des vagues qui gagnaient du terrain a été cassée, a précisé la directrice de l’environnement devant la délégation composée du ministre, de ses collaborateurs et des journalistes. Lesquels s’étaient réunis dans le cadre d’un atelier de formation des professionnels de l’information et de la communication de deux jours à Saly.
Mme Diarra qui a fait une petite présentation des ouvrages a indiqué, alors, que les brise-lames sont longs chacun de 90 m et séparés l’une de l’autre d’une distance de 80 m. Des ouvrages qui ont coûté quelque 700 millions de francs et qui peuvent avoir une durée de vie de 20 ans. Sur le site, elle s’en réjouit d’autant que l’ouvrage a permis de sauver plusieurs mètres. Cependant, elle a précisé qu’il était prévu la construction de 9 brise-lames sur une étendue de 1,5 km. Infrastructures d’un coût de 3 milliards de F Cfa, alors que les fonds qui étaient disponibles ne se chiffraient qu’à 900 millions de nos francs. D’où le financement de ces deux brise-lames.
Le doigt pointé vers un bâtiment construit à un jet de pierre de la plage, elle a précisé que la structure subissait la furie des vagues. Ce qui n’est plus le cas grâce aux réalisations qui ont fait que l’énergie des vagues qui gagnaient du terrain a été cassée, a précisé la directrice de l’environnement devant la délégation composée du ministre, de ses collaborateurs et des journalistes. Lesquels s’étaient réunis dans le cadre d’un atelier de formation des professionnels de l’information et de la communication de deux jours à Saly.
Youssoupha MINE