En plus d'avoir créé l'Institut de Judo de Saint-Louis pour former des centaines de jeunes, venus de tous les coins du pays, Ababcar Fall était un bienfaiteur hors pair. En effet, chaque année, cette illustre personnalité soutenait des familles diminues, pendant la fête de Tabaski, et les autres événements religieux.
Comme l'indique l'adage Wolof, "pour sonder la bonté d'un homme, il faut interroger ses parents et proches". Ces derniers pleurent encore un soutien, un confident, un serviteur désintéressé de la communauté. Mbaye Mboye était aussi un bon père qui se souciait de l'avenir de ses enfants. Il avait lui-même initié ses enfants à la pratique de ce disciple. Ils sont devenus aujourd'hui de grands champions qui forcent la joie de tout un peuple. Son attachement à sa famille faisait de lui une référence. Sa famille était son grand souci, sa seule préoccupation.
Homme de valeurs et de convictions, Mbaye Boye avait des principes. Ce sportif de haut niveau, très chéri par les Saint-louisiens pour ses qualités et ses vertus, sa générosité, sa franchise, son respect de la parole donnée, il était l'incarnation propre de la Saint-Lousienneté, selon Golbert Diagne. Notre Saint-louisien de l'année a dignement inscrit son nom dans la liste des grandes figures emblématiques de Ndar, la ville Magique.
Toujours égal à lui-même, très fidèle en amitié (il était très proche du maire honoraire de Saint-Louis, Abdoulaye Diaw Chimère), humble et disponible, Me Ababacar Fall dit Mbaye Boye ne ratait aucune occasion de communier avec la population de la vieille cité dans la joie. Sa communication était vivante, ponctuée de tapes amicales et de congratulations.
Il parvenait toujours à arracher le sourire aux plus timides, aux passants sévères qui n'aiment pas plaisanter. Sa façon de commercer avec son prochain, sa manière particulière d'égratigner les autorités administratives, municipales, politiques, coutumières et religieuses, de taquiner ses amis et proches collaborateurs, étaient toujours ponctuées de paraboles, d'anecdotes, de métaphores.
Le Tournoi international de Judo a disputé l'année dernière sa 14ème édition. Aujourd'hui, sa famille veut préserver la flamme de son action bénéfique. Repose en Paix Grand Champion et chantre de la ville. Saint-Louis et Ndarinfo.com ne t'oublieront JAMAIS.
Cheikh Saad Bou SEYE
cheikh@ndarinfo.com
Comme l'indique l'adage Wolof, "pour sonder la bonté d'un homme, il faut interroger ses parents et proches". Ces derniers pleurent encore un soutien, un confident, un serviteur désintéressé de la communauté. Mbaye Mboye était aussi un bon père qui se souciait de l'avenir de ses enfants. Il avait lui-même initié ses enfants à la pratique de ce disciple. Ils sont devenus aujourd'hui de grands champions qui forcent la joie de tout un peuple. Son attachement à sa famille faisait de lui une référence. Sa famille était son grand souci, sa seule préoccupation.
Homme de valeurs et de convictions, Mbaye Boye avait des principes. Ce sportif de haut niveau, très chéri par les Saint-louisiens pour ses qualités et ses vertus, sa générosité, sa franchise, son respect de la parole donnée, il était l'incarnation propre de la Saint-Lousienneté, selon Golbert Diagne. Notre Saint-louisien de l'année a dignement inscrit son nom dans la liste des grandes figures emblématiques de Ndar, la ville Magique.
Toujours égal à lui-même, très fidèle en amitié (il était très proche du maire honoraire de Saint-Louis, Abdoulaye Diaw Chimère), humble et disponible, Me Ababacar Fall dit Mbaye Boye ne ratait aucune occasion de communier avec la population de la vieille cité dans la joie. Sa communication était vivante, ponctuée de tapes amicales et de congratulations.
Il parvenait toujours à arracher le sourire aux plus timides, aux passants sévères qui n'aiment pas plaisanter. Sa façon de commercer avec son prochain, sa manière particulière d'égratigner les autorités administratives, municipales, politiques, coutumières et religieuses, de taquiner ses amis et proches collaborateurs, étaient toujours ponctuées de paraboles, d'anecdotes, de métaphores.
Le Tournoi international de Judo a disputé l'année dernière sa 14ème édition. Aujourd'hui, sa famille veut préserver la flamme de son action bénéfique. Repose en Paix Grand Champion et chantre de la ville. Saint-Louis et Ndarinfo.com ne t'oublieront JAMAIS.
Cheikh Saad Bou SEYE
cheikh@ndarinfo.com