La crainte est vive dans certains quartiers de Saint-Louis dont certains de la périphérie confrontés depuis quelques jours à des journées de privation d’eau.
Le cauchemar d’une Tabaski sans le robinet qui coule, hante les esprits. Dans le Sor, les populations vivent un vrai calvaire. À l’arrivée d’un camion-citerne à Pikine, c’est la débandade pour remplir une bassine ou un seau avant que cela ne s’épuise. Aussi, il faut veiller la nuit pour recueillir l’eau à des eaux tardives.
Alors que la célébration de l’Aid El Kebir requiert une utilisation importante de la source de vie. En plus des milliers de fidèles qui devront prendre le bain avant la prière populaire, son utilisation en grande quantité est nécessaire après l’immolation.
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