C’est la fin d’un florissant réseau de prostitution bâtie par une Nigériane dénommé Christina, établie au cœur de Darou. Engagée dans le plus vieux métier du monde depuis plusieurs années à Saint-Louis, elle avait dupé ses parents en leur déclarant tenir un salon de coiffure à Ndar.
Le prosélytisme bien efficace, elle a su convaincre d’autres compatriotes à rejoindre son business.
Le mois dernier, elle capte deux Nigérianes âgées de 18 ans dans son opération de recrutement. Elle les invite à venir à Saint-Louis, travailler avec elle dans son salon fictif.
Une fois sur place et après avoir gagné la confiance de leurs parents, les deux recrues se rendent compte du trou noir dans lequel elles sont enfoncées par Christina. Devant leur refus catégorique des nouvelles engagées de rejoindre s’offrir, la patronne déroule un harcèlement sans précédant. Finalement, épuisées, elles se résignent et la suivent dans le cachot.
Chaque jour, au moins 5 clients sont enregistrés. La dame encaisse tout le fric et laisse ses employées dans le pétrin. Lasses de subir les durs assauts des hommes toujours insatiables, les deux « esclaves » s’ouvrent à un voisin qui en parle, en retour, au Commissaire central El Hadji Bécaye DIARRA.
Des éléments de la police font une descente sur les lieux. Cueillies, les trois dames avouent leur activisme dans cette entreprise salace. Christina reconnaît les faits et admet avoir manigancé par un château de mensonge, la venue des filles à Saint-Louis.
Elle sera déférée pour proxénétisme.
NDARINFO.COM
Le prosélytisme bien efficace, elle a su convaincre d’autres compatriotes à rejoindre son business.
Le mois dernier, elle capte deux Nigérianes âgées de 18 ans dans son opération de recrutement. Elle les invite à venir à Saint-Louis, travailler avec elle dans son salon fictif.
Une fois sur place et après avoir gagné la confiance de leurs parents, les deux recrues se rendent compte du trou noir dans lequel elles sont enfoncées par Christina. Devant leur refus catégorique des nouvelles engagées de rejoindre s’offrir, la patronne déroule un harcèlement sans précédant. Finalement, épuisées, elles se résignent et la suivent dans le cachot.
Chaque jour, au moins 5 clients sont enregistrés. La dame encaisse tout le fric et laisse ses employées dans le pétrin. Lasses de subir les durs assauts des hommes toujours insatiables, les deux « esclaves » s’ouvrent à un voisin qui en parle, en retour, au Commissaire central El Hadji Bécaye DIARRA.
Des éléments de la police font une descente sur les lieux. Cueillies, les trois dames avouent leur activisme dans cette entreprise salace. Christina reconnaît les faits et admet avoir manigancé par un château de mensonge, la venue des filles à Saint-Louis.
Elle sera déférée pour proxénétisme.
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