Des structures parties prenantes du Projet de protection côtière à Saint-Louis (PPCS), dont l’Agence de développement municipal (ADM), préconisent que les activités de divertissement soient délocalisées pour que les chantiers engagés dans le cadre de cette initiative soient livrés à temps convenu.
Le Projet de protection côtière de Saint-Louis (PPCS), doté d’un financement de quelque 10 milliards de francs CFA, devrait se matérialiser par la construction d’un ouvrage de protection côtière pour stopper le recul de la ligne de rivage, en vue de protéger les populations et les biens des quartiers situés sur la Langue de Barbarie du risque d’érosion côtière.
"Durant cette période estivale où l’on note une forte affluence au bord de la mer, les plages sont prises d’assaut et la zone des travaux n’est pas épargnée", au risque de retarder la conduite des chantiers prévus, rapporte un communiqué.
Le texte est signé notamment de l’Agence de développement municipal (ADM) et de l’Agence de développement communal (ADC) de Saint-Louis, des structures parties prenantes du projet.
Elles constatent qu’en cette période, "baigneurs, footballeurs organisant des tournois, randonneurs et vacanciers venus des autres localités du pays, s’en donnent à cœur joie sans tenir compte des risques d’accidents encourus".
A cela s’ajoutent les animaux en divagation, ajoute le communiqué, notant que ces actions "constituent également des entraves à la bonne marche des travaux et ralentissent l’avancée des camions et autres engins sur le site".
Selon ce communiqué conjoint, en raison de cette situation, la livraison des chantiers risque d’accuser un retard par rapport aux délais sur lesquels l’entreprise en charge des travaux s’était engagée.
"Dès lors, délocaliser les activités de divertissement hors de la zone des travaux devient un impératif urgent", indiquent les structures concernées, qui recommandent aux populations "d’emprunter les voies de passage aménagées à cet effet pour l’accès à la mer."
L’ADM, l’ADC et la commune de Saint-Louis en appellent "à la responsabilité de tous les citoyens et au respect des mesures de sécurité qui demeurent les seuls moyens de prévenir les accidents".
Le Projet de protection côtière de Saint-Louis (PPCS), doté d’un financement de quelque 10 milliards de francs CFA, devrait se matérialiser par la construction d’un ouvrage de protection côtière pour stopper le recul de la ligne de rivage, en vue de protéger les populations et les biens des quartiers situés sur la Langue de Barbarie du risque d’érosion côtière.
"Durant cette période estivale où l’on note une forte affluence au bord de la mer, les plages sont prises d’assaut et la zone des travaux n’est pas épargnée", au risque de retarder la conduite des chantiers prévus, rapporte un communiqué.
Le texte est signé notamment de l’Agence de développement municipal (ADM) et de l’Agence de développement communal (ADC) de Saint-Louis, des structures parties prenantes du projet.
Elles constatent qu’en cette période, "baigneurs, footballeurs organisant des tournois, randonneurs et vacanciers venus des autres localités du pays, s’en donnent à cœur joie sans tenir compte des risques d’accidents encourus".
A cela s’ajoutent les animaux en divagation, ajoute le communiqué, notant que ces actions "constituent également des entraves à la bonne marche des travaux et ralentissent l’avancée des camions et autres engins sur le site".
Selon ce communiqué conjoint, en raison de cette situation, la livraison des chantiers risque d’accuser un retard par rapport aux délais sur lesquels l’entreprise en charge des travaux s’était engagée.
"Dès lors, délocaliser les activités de divertissement hors de la zone des travaux devient un impératif urgent", indiquent les structures concernées, qui recommandent aux populations "d’emprunter les voies de passage aménagées à cet effet pour l’accès à la mer."
L’ADM, l’ADC et la commune de Saint-Louis en appellent "à la responsabilité de tous les citoyens et au respect des mesures de sécurité qui demeurent les seuls moyens de prévenir les accidents".