Le ministre de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables, Thierno Alassane Sall, a souligné, mercredi, à Saint-Louis (nord), la nécessité pour le monde universitaire sénégalais d’accélérer la réorientation des formations vers les métiers notamment liés à la gestion des ressources naturelles.
« Il est important aujourd’hui de mobiliser le monde universitaire pour accélérer davantage la réorientation des formations vers les métiers du futur. Il faut à cet égard féliciter l’université de Saint-Louis, d’avoir lancé un master en gestion des industries extractives », a-t-il déclaré à des journalistes.
Le ministre sénégalais de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables s’adressait à des journalistes, peu après avoir animé une conférence consacrée aux perspectives de la découverte du pétrole et du gaz au Sénégal.
Des étudiants et de nombreux universitaires ont participé à cette rencontre organisée à l’auditorium de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB).
« Nous avons discuté et échangé sur les perspectives de ces découvertes. Il est ainsi essentiel de sensibiliser les étudiants sur la nécessité de voir le pays se doter d’un personnel compétent et capable de participer à l’exploitation du gaz et du pétrole », a dit M. Sall.
Le Sénégal pourrait entrer dans le club des pays producteurs de pétrole et de gaz après la confirmation de la découverte d’importants gisements en différents endroits de son territoire.
Le gouvernement sénégalais a récemment annoncé la découverte d’un gisement de gaz naturel estimé 140 milliards de mètres cubes au large de Cayar, dans la région de Thiès (ouest).
Cette découverte est la deuxième faite par les sociétés Kosmos Energy, Timis Corporation et la Société des pétroles du Sénégal (PETROSEN), après celle de Guembeul-1, dans la région de Saint-Louis (nord), a rappelé le ministère de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables.
« En 2014, deux découvertes de pétrole et de gaz naturel avaient été successivement faites en eaux profondes, au large de Sangomar (ouest), à l’issue du forage de deux puits d’exploration par l’association constituée par les compagnies pétrolières Cairn Energy, Conocophillips, First Australian Resources et la PETROSEN », a-t-il rappelé.
Ces gisements s’ajoutent aux réserves d’hydrocarbures découvertes aux larges du Sénégal et de la Mauritanie.
APS
« Il est important aujourd’hui de mobiliser le monde universitaire pour accélérer davantage la réorientation des formations vers les métiers du futur. Il faut à cet égard féliciter l’université de Saint-Louis, d’avoir lancé un master en gestion des industries extractives », a-t-il déclaré à des journalistes.
Le ministre sénégalais de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables s’adressait à des journalistes, peu après avoir animé une conférence consacrée aux perspectives de la découverte du pétrole et du gaz au Sénégal.
Des étudiants et de nombreux universitaires ont participé à cette rencontre organisée à l’auditorium de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB).
« Nous avons discuté et échangé sur les perspectives de ces découvertes. Il est ainsi essentiel de sensibiliser les étudiants sur la nécessité de voir le pays se doter d’un personnel compétent et capable de participer à l’exploitation du gaz et du pétrole », a dit M. Sall.
Le Sénégal pourrait entrer dans le club des pays producteurs de pétrole et de gaz après la confirmation de la découverte d’importants gisements en différents endroits de son territoire.
Le gouvernement sénégalais a récemment annoncé la découverte d’un gisement de gaz naturel estimé 140 milliards de mètres cubes au large de Cayar, dans la région de Thiès (ouest).
Cette découverte est la deuxième faite par les sociétés Kosmos Energy, Timis Corporation et la Société des pétroles du Sénégal (PETROSEN), après celle de Guembeul-1, dans la région de Saint-Louis (nord), a rappelé le ministère de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables.
« En 2014, deux découvertes de pétrole et de gaz naturel avaient été successivement faites en eaux profondes, au large de Sangomar (ouest), à l’issue du forage de deux puits d’exploration par l’association constituée par les compagnies pétrolières Cairn Energy, Conocophillips, First Australian Resources et la PETROSEN », a-t-il rappelé.
Ces gisements s’ajoutent aux réserves d’hydrocarbures découvertes aux larges du Sénégal et de la Mauritanie.
APS