L’archiviste de la gouvernance de Saint-Louis, Ngor Sène, a révélé mercredi avoir rejeté plusieurs offres d’emploi dont un poste de sous-préfet et un autre d'adjoint au préfet, du seul fait de son amour pour son métier de son rêve.
‘’Le directeur de cabinet d’un ministre de l’Intérieur est venu une fois à Saint-Louis me dire qu’il était en train de confectionner une liste de sous-préfets et qu’il comptait sur moi, mais je lui ai fait savoir que je voulais être archiviste’’, a-t-il notamment déclaré au cours d’une cérémonie d’hommage qui lui était rendu en marge de la célébration de la Journée mondiale du livre.
Une deuxième fois, a-t-il encore raconté, une proposition lui a été faite pour devenir adjoint au préfet de Foundiougne, mais là aussi, il avait choisi de décliner également l’offre poliment pour l'emploi qui lui vaut ces honneurs, aujourd’hui.
Il affirme avoir toujours eu l’amour de son métier d’archiviste, qu’il a eu à exercer bien avant d’être admis à l’Ecole des bibliothécaires, archivistes et documentalistes (EBAD). ‘’D’abord, au niveau de mon école en 1963, je gérais les archives et, plus tard au lycée, j’ai fait le même travail pour ma mission à kaolack’’, a indiqué M. Sène qui fait aussi office de comptable de l’Association des chefs de services de la région.
Il est aussi utilisé par l’hôpital et d’autres structures administratives pour sa loyauté et son sérieux, ont témoigné plusieurs intervenants à cette rencontre de la section nord de l’Amicale des bibliothécaires, archiviste et documentaliste, marquée par une conférence introduite par Adama Aly Pam, archiviste à la BCEAO.
APS
‘’Le directeur de cabinet d’un ministre de l’Intérieur est venu une fois à Saint-Louis me dire qu’il était en train de confectionner une liste de sous-préfets et qu’il comptait sur moi, mais je lui ai fait savoir que je voulais être archiviste’’, a-t-il notamment déclaré au cours d’une cérémonie d’hommage qui lui était rendu en marge de la célébration de la Journée mondiale du livre.
Une deuxième fois, a-t-il encore raconté, une proposition lui a été faite pour devenir adjoint au préfet de Foundiougne, mais là aussi, il avait choisi de décliner également l’offre poliment pour l'emploi qui lui vaut ces honneurs, aujourd’hui.
Il affirme avoir toujours eu l’amour de son métier d’archiviste, qu’il a eu à exercer bien avant d’être admis à l’Ecole des bibliothécaires, archivistes et documentalistes (EBAD). ‘’D’abord, au niveau de mon école en 1963, je gérais les archives et, plus tard au lycée, j’ai fait le même travail pour ma mission à kaolack’’, a indiqué M. Sène qui fait aussi office de comptable de l’Association des chefs de services de la région.
Il est aussi utilisé par l’hôpital et d’autres structures administratives pour sa loyauté et son sérieux, ont témoigné plusieurs intervenants à cette rencontre de la section nord de l’Amicale des bibliothécaires, archiviste et documentaliste, marquée par une conférence introduite par Adama Aly Pam, archiviste à la BCEAO.
APS