L’ONG Espoir pour la Santé(EPLS) a été à l’initiative, ce vendredi, d’une rencontre d’étude sur le paludisme.
L’organisation qui entame depuis 10 ans des recherches spécifiées sur le paludisme dans la vallée du fleuve Sénégal a convié hier des chercheurs de l’IRD (France et Dakar), de l’Ucad, de l’UGB, de l’Université Lille 2 et de l’Institut Paster(Dakar) à une journée d’échanges dont les conclusions serviront à renforcement le plaidoyer de lutte contre cette maladie.
Pour Gilles Riveau, le Directeur de l’IRD, « le paludisme a connu un net recul dans les années précédentes grâce aux nombreux programmes de lutte mis en place mais depuis deux ans, nous voyons que ce fléau regagne de l’ampleur ».
« Les facteurs de ce rebond sont multiples et sont d’ailleurs l’objet de cette rencontre d’aujourd’hui qui se voudra dense », a martelé M.Riveau.
Parmi les facteurs qui favorisent le développement de cette pandémie, « les problèmes liés à la santé publique, les gites larvaires qui se développent un peu partout et les concentrations de population», a t’il souligné.
Ayant ses spécificités écologiques, la vallée représente un intérêt scientifique réel. D’où la nécessité d’engager des réflexions avec les différents secteurs concernés (parasitologues, immunologistes, spécialistes de la santé publique, etc) pour mettre sur pied de nouvelles stratégies de lutte.
Au terme de ce conclave scientifique, un nouveau modèle d’anticipation d’épidémie sera confectionné et proposé aux décideurs.
Cheikh Saad Bou SEYE
L’organisation qui entame depuis 10 ans des recherches spécifiées sur le paludisme dans la vallée du fleuve Sénégal a convié hier des chercheurs de l’IRD (France et Dakar), de l’Ucad, de l’UGB, de l’Université Lille 2 et de l’Institut Paster(Dakar) à une journée d’échanges dont les conclusions serviront à renforcement le plaidoyer de lutte contre cette maladie.
Pour Gilles Riveau, le Directeur de l’IRD, « le paludisme a connu un net recul dans les années précédentes grâce aux nombreux programmes de lutte mis en place mais depuis deux ans, nous voyons que ce fléau regagne de l’ampleur ».
« Les facteurs de ce rebond sont multiples et sont d’ailleurs l’objet de cette rencontre d’aujourd’hui qui se voudra dense », a martelé M.Riveau.
Parmi les facteurs qui favorisent le développement de cette pandémie, « les problèmes liés à la santé publique, les gites larvaires qui se développent un peu partout et les concentrations de population», a t’il souligné.
Ayant ses spécificités écologiques, la vallée représente un intérêt scientifique réel. D’où la nécessité d’engager des réflexions avec les différents secteurs concernés (parasitologues, immunologistes, spécialistes de la santé publique, etc) pour mettre sur pied de nouvelles stratégies de lutte.
Au terme de ce conclave scientifique, un nouveau modèle d’anticipation d’épidémie sera confectionné et proposé aux décideurs.
Cheikh Saad Bou SEYE