La Maison d’arrêt et de correction (Mac) de la capitale du Nord est bien partie pour occuper le devant de la scène ces jours-ci. La raison qui est des plus évidentes porte sur l’interpellation, par les pandores de la Brigade de recherches de Saint-Louis, du régisseur adjointCheikh Diop. De sources concordantes proches de cette affaire, il ressort que les démêlés judiciaires du régisseur adjoint portent l’empreinte du Procureur de Saint-Louis, qui a saisi les pandores de la Brigade de recherches locale d’un soit transmis, portant interpellation et placement en garde à vue de l’adjoint du régisseur. Mieux, nos sources renseignent qu’il ressort des instructions du Procureur que le régisseur devrait poursuivre son séjour chez ses hôtes de la Brigade de recherches, jusqu’à aujourd’hui, avant qu’il ne décide de son sort.
Les motifs exacts de cette arrestation et les griefs retenus contre le mis en cause (encore nébuleux) semblent échapper à nos sources. Cependant, d’après nos interlocuteurs proches de cette affaire, l’arrestation du régisseur adjoint a un lien avec les frasques du célèbre détenu nigérian, John Eze Obi. Pour en attester, nos sources assurent que le Nigérian qui purge à la Maison d’arrêt et de correction de Saint-Louis deux condamnations à des peines ferme, pour trafic international de drogue dure et blanchiment d’argent, «a même été extrait de sa cellule par les hommes en bleu qui l’ont conduit dans leurs locaux, pour audition. Au terme de cet exercice, John Obi qui, dans un premier temps, purgeait sa peine à la prison de Liberté 6, avant son transfèrement à Saint-Louis, a été reconduit dans sa cellule».
Abdoulaye DIEDHIOU
Les motifs exacts de cette arrestation et les griefs retenus contre le mis en cause (encore nébuleux) semblent échapper à nos sources. Cependant, d’après nos interlocuteurs proches de cette affaire, l’arrestation du régisseur adjoint a un lien avec les frasques du célèbre détenu nigérian, John Eze Obi. Pour en attester, nos sources assurent que le Nigérian qui purge à la Maison d’arrêt et de correction de Saint-Louis deux condamnations à des peines ferme, pour trafic international de drogue dure et blanchiment d’argent, «a même été extrait de sa cellule par les hommes en bleu qui l’ont conduit dans leurs locaux, pour audition. Au terme de cet exercice, John Obi qui, dans un premier temps, purgeait sa peine à la prison de Liberté 6, avant son transfèrement à Saint-Louis, a été reconduit dans sa cellule».
Abdoulaye DIEDHIOU