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Au marché SOR, sur les berges de l’axe allant vers Santhiaba et Goxu Mbacc, à Diameguène derrière le stade Me Babacar SEYE, dans des coins de Léona, sur les bords de fleuve de l’ile, les ordures et les moustiques se mélangent offrant un décor chaotique avec une puanteur très aiguë.
Sur la digue de Pikine, les ordures baignent dans les eaux verdâtres des inondations alors qu’à l’intérieur de Angle TALL, le système d’évacuation des eaux pluviales est bouché. Ce samedi, des volontaires se sont mobilisés pour résoudre le problème.
Avec le curage défectueux, parce que précipité, le sable extirpé retourne dans les égouts, emporté par les eaux de puits. Le calvaire des populations s’accentue. C’est toute la ville qui est affectée par un état d’insalubrité indescriptible au lendemain de la célébration de la Tabaski.
La Commune de Saint-Louis justifie la situation par une « rupture de charge du ramassage des ordures causée par la forte production de déchets durant la Tabaski et l'inaccessibilité du Centre d'Enfouissement technique de Gandon relative aux précipitations des derniers jours ».
Pourtant, les restes d’arbres arrachés depuis la violente tempête ne sont toujours pas dégagés. Aucune action pour remettre les murs de protection et grillages de la Place Faidherbe et des cimetières de Thième et Thiaka NDIAYE n’a été constatée. C’est comme Saint-Louis était laissée à elle-même !
Sur la digue de Pikine, les ordures baignent dans les eaux verdâtres des inondations alors qu’à l’intérieur de Angle TALL, le système d’évacuation des eaux pluviales est bouché. Ce samedi, des volontaires se sont mobilisés pour résoudre le problème.
Avec le curage défectueux, parce que précipité, le sable extirpé retourne dans les égouts, emporté par les eaux de puits. Le calvaire des populations s’accentue. C’est toute la ville qui est affectée par un état d’insalubrité indescriptible au lendemain de la célébration de la Tabaski.
La Commune de Saint-Louis justifie la situation par une « rupture de charge du ramassage des ordures causée par la forte production de déchets durant la Tabaski et l'inaccessibilité du Centre d'Enfouissement technique de Gandon relative aux précipitations des derniers jours ».
Pourtant, les restes d’arbres arrachés depuis la violente tempête ne sont toujours pas dégagés. Aucune action pour remettre les murs de protection et grillages de la Place Faidherbe et des cimetières de Thième et Thiaka NDIAYE n’a été constatée. C’est comme Saint-Louis était laissée à elle-même !
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