"La tendance est bonne par rapport à l’année dernière", a-t-elle assuré dans un entretien avec l’APS.
Elle souligne que les marchés et foirails "sont bien approvisionnés en moutons", ajoutant qu’il y a "une arrivée journalière de moutons" accessibles à toutes les bourses.
Elle souligne que les marchés et foirails "sont bien approvisionnés en moutons", ajoutant qu’il y a "une arrivée journalière de moutons" accessibles à toutes les bourses.
Fatoumata Diack Sy ajoute que le suivi journalier fait par le service de l’élevage montre qu’il "n’y a aucune crainte de manque de moutons pour la Tabaski 2019".
Au foirail principal de Saint-Louis, les moutons exposés par les éleveurs sénégalais et mauritaniens sont cédés entre 200.000 francs CFA et 75.000 francs CFA, des prix que d’aucuns jugent élevés.
Malgré tout, ils sont nombreux les Saint-Louisiens à se ruer sur les foirails, afin d’acquérir un mouton avant le jour de la Tabaski.
Même s’il s’acquitte de ce devoir religieux depuis maintenant 30 ans, Abdoulaye Dièye, un père de famille, juge exorbitant les prix appliqués par rapport aux bourses des citoyens.
"Avant, les prix des moutons variaient entre 50.000 francs CFA et 75.000 francs CFA ; maintenant, ces mêmes moutons sont vendus entre 150.000 et 200.000 francs CFA’’, se désole-t-il.
"Avant, les prix des moutons variaient entre 50.000 francs CFA et 75.000 francs CFA ; maintenant, ces mêmes moutons sont vendus entre 150.000 et 200.000 francs CFA’’, se désole-t-il.
A quatre jours de la Tabaski, les marchés de Sor, Ndar-Toute et le centre-ville refuse déjà du monde.
Les rues de la capitale nord du Sénégal sont surtout envahis par les femmes et les jeunes filles à la recherche de produits et d’habits.
Les rues de la capitale nord du Sénégal sont surtout envahis par les femmes et les jeunes filles à la recherche de produits et d’habits.
Dans les marchés, les commerçants à même le sol leurs produits, comme les vêtements prêt-à-porter pour les enfants, les couteaux et ustensiles de cuisine.
APS
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