Un embarcadère comme celui de Gorée, construit vers les années 1800 et qui appartenait à un opérateur économique français du nom de TOBY.
L’ouvrage permettait de recueillir le sel de la Mauritanie, la gomme arabique, l’arachide et d’autres cultures légumières acheminées à bord de pirogues "Taara" de la vallée du fleuve sur un ponton. Les marchandises seront ensuite acheminées par voie ferroviaire.
Il est le symbole du dynamisme du « transit entre la Mauritanie et le Sénégal », explique un notable de la ville.
Avec l’achèvement des travaux du pont Faidherbe, le pont de TOBY perdit son importance. Aujourd’hui, les restes des rails que prolongeaient vers la gare sont encore visibles sur les berges du SOR.
L’ouvrage permettait de recueillir le sel de la Mauritanie, la gomme arabique, l’arachide et d’autres cultures légumières acheminées à bord de pirogues "Taara" de la vallée du fleuve sur un ponton. Les marchandises seront ensuite acheminées par voie ferroviaire.
Il est le symbole du dynamisme du « transit entre la Mauritanie et le Sénégal », explique un notable de la ville.
Avec l’achèvement des travaux du pont Faidherbe, le pont de TOBY perdit son importance. Aujourd’hui, les restes des rails que prolongeaient vers la gare sont encore visibles sur les berges du SOR.
NDARINFO.COM