‘’Cet évènement, c’est pour d’abord mettre en exergue le courage, la témérité, l’autorité dont il était animé pour vaincre son adversaire [Geogres Carpentier]’’, le premier boxeur français professionnel, a expliqué El Moctar Guèye, coordonnateur adjoint du comité d’organisation, vendredi.
Il s’exprimait au sortir d’une réunion du Comité départemental de développement (CDD) préparatoire à cet évènement.
Aujourd’hui plus que jamais, la famille de Battling Siki dit tout ignorer des circonstances de l’assassinat de ce natif de Saint-Louis, le 15 décembre 1925 à New York.
‘’Qui l’a assassiné ? Jusqu’à présent nous n’avons ni les rapports de sa famille, ni aujourd’hui tous les détails qui ont participé à faire de cet homme, un homme exceptionnel. Qu’est-ce qu’il a laissé pour sa famille ? On ne sait pas’’, déplore Ibrahima Fall, le secrétaire général du comité d’organisation.
Ce comité, à travers son secrétaire général, plaide pour que la mémoire de Battling Siki soit immortalisée.
‘’Pour moi, Saint-Louis est un carrefour culturel mais sportif. C’est l’occasion pour nous encore de permettre à toute la jeunesse saint-louisienne de se retrouver sur l’existence de Battling Siki.’’, indique-t-il.
Il déplore le fait qu’aucune rue, aucune école élémentaire, aucun lycée ne porte son nom dans sa ville natale . ‘’Ça veut dire qu’il est méconnu même des Saint-Louisiens’’, s’offusque Ibrahima Fall, lançant ainsi un appel à l’endroit des autorités.
Né en 1897 à Saint-Louis, ancienne capitale de l’Afrique occidentale française, Battling Siki, premier champion du monde africain de boxe, est mort assassiné le 15 décembre 1925, à New York.
APS
Il s’exprimait au sortir d’une réunion du Comité départemental de développement (CDD) préparatoire à cet évènement.
Aujourd’hui plus que jamais, la famille de Battling Siki dit tout ignorer des circonstances de l’assassinat de ce natif de Saint-Louis, le 15 décembre 1925 à New York.
‘’Qui l’a assassiné ? Jusqu’à présent nous n’avons ni les rapports de sa famille, ni aujourd’hui tous les détails qui ont participé à faire de cet homme, un homme exceptionnel. Qu’est-ce qu’il a laissé pour sa famille ? On ne sait pas’’, déplore Ibrahima Fall, le secrétaire général du comité d’organisation.
Ce comité, à travers son secrétaire général, plaide pour que la mémoire de Battling Siki soit immortalisée.
‘’Pour moi, Saint-Louis est un carrefour culturel mais sportif. C’est l’occasion pour nous encore de permettre à toute la jeunesse saint-louisienne de se retrouver sur l’existence de Battling Siki.’’, indique-t-il.
Il déplore le fait qu’aucune rue, aucune école élémentaire, aucun lycée ne porte son nom dans sa ville natale . ‘’Ça veut dire qu’il est méconnu même des Saint-Louisiens’’, s’offusque Ibrahima Fall, lançant ainsi un appel à l’endroit des autorités.
Né en 1897 à Saint-Louis, ancienne capitale de l’Afrique occidentale française, Battling Siki, premier champion du monde africain de boxe, est mort assassiné le 15 décembre 1925, à New York.
APS